Bonjour à tous.

J'ai une relation qui va se faire lourder dans son boulot (encore un) et grossir la longue liste de pharmaciens à la rue pour cause changement de proprio.

Le titulaire lui met la pression pour faire une rupture de contrat conventionnelle (encore une trouvaille juridique) pour faciliter le licenciement, par rapport à l'"économique".
Pourquoi tant d'insistance ? Le salarié peut-il être gagnant ou est-ce une arnaque ?

En avez-vous eu l'expérience ? Jusqu'à combien peut-on réclamer ?

Voilà. Merci.

c'est simple : si il y a accord, pas de poursuite aux prud'hommes ! si il y a pas accord , condamnation certaine aux prud'hommes

donc avec une bonne calculette, il devrait trouver un moyen terme entre un peu tout de suite et beaucoup plus tard !

attention que le statut fiscal et social n'est pas le même entre une indémnité de rupture et un prud'homme !

Merci Marinella, mais comment légitimer un prud'homme lorsque le licenciement économique est justifié ?

Nouveaux patrons aux aboies cause emprûnt et partage du chiffre en deux !

quel délai depuis la session ?

licenciement économique injustifié.
S'ils n'ont pas les moyens de garder les employés il ne fallait pas acheter ou acheter moins cher...
être aux aboies à cause de l'emprunt, trop facile

Alors... la cession de l'officine devrait se faire l'été prochain ou un truc comme ça, dixit truc.

Epo44, c'est un voeux ce que tu dis ou est-ce vrai que le licenciement serait injustifié ?

tout a fait d accord avec epo quand on achete la pharma c 'est avec le personnel et c tout sinon trop facile !!!

je ne comprends pas : s'agit-il d'un licenciement suite à une cession par les nouveaux titulaires ou d'un licenciement dans le cadre d'une gestion normale et d'une perte d'activité ?

Dans l'un le licenciement économique n'est pas valide, dans l'autre bien sur que oui !

dans le second cas, je ne vois pas l'interet de parler d'une cession en 2011. Si la situation est grave, le dépot de bilan l'aura précédée !

Il s'agit bien d'une cession d'officine d'un titulaire à deux futurs titulaires qui naturellement ne vont pas garder un troisième pharmacien et qui (même si on vaut rien) n'en auront pas les moyens de toute façon.

Vous dites donc que ce n'est pas légal d'invoquer le licenciement économique dans ce cas là ? Bizzare quand même, puiqu'il est évident que l'officine ne pourra pas économiquement perdurer.

Mais si c'est bien vrai, c'est bidule qui va être content... Enfin s'il veut pas se laisser faire, bien sûr.

donc attendre la cession pour voir comment ces futurs titulaires regleront le pb !

je ne suis pas d'accord avec la condamnation certaine au prud;
dans la realite c 50 50.