Bonjour,

pour ceux qui n'ont pas tout suivi, mais qui en ont vaguement entendu parlé, voici deux liens afin de comprendre les fondamentaux.

http://www.pratispharma.com/shared/skins/pratis_pharma/modules/webtv/video_player.php?id=1706

http://www.pratispharma.com/shared/skins/pratis_pharma/modules/webtv/video_player.php?id=1705

ce site est une mine d'informations...

et un de plus (avec le rapport complet en pdf) :

http://www.impact-sante.fr/Pharmacie/Gestion_et_strategie/Les_pistes_du_rapport_Rioli-_une_remuneration_mixte/11/9441

Message édité par : PoLoGwADa / 18-12-2009 20:47

J'étudie Polo.

Quelqu'un a t'il le rapport en pdf?

C'est bon je l'ai.

quelqu'un aurait il des documents relatifs à la loi HPST l ?

il semblerait que le rapport Rioli soit l'application concrète de cette loi (si j'ai bien tout suivi)... mais quid du contenu HPST ?

merci d'avance...

Message édité par : PoLoGwADa / 23-12-2009 13:55

Les mutuelles réticentes à financer les futurs services pharmaceutiques
Le 16 avril dernier, l'université Paris-Descartes proposait aux officinaux une journée de formation sur le développement de l'offre de services pharmaceutiques, dans le cadre de la loi « Hôpital, patients, santé et territoires ».

Les complémentaires santé avaient été conviées afin de trouver de nouveaux modèles de financement pour que se concrétisent ces services. Mais ni la Fédération nationale de la mutualité interprofessionnelle (FNMI), ni la Fédération française des sociétés d'assurances (FFSA) ne se sont montrées prêtes à ouvrir leur porte-monnaie.

Gratuit tous ces services seront ! Maître Pharma-Yoda

La perspective des nouvelles missions du pharmacien esquissées par le projet HPST offre, selon G Bonnefond, une possibilité de limiter la dégradation de la marge des officinaux.

Par contre, le président délégué de l’USPO tire la sonnette d’alarme sur l’évolution du mode de rémunération. « On nous emmène dans un piège », assure-t-il en pointant « ceux qui communiquent sur la rémunération mixte » en reparamétrant la marge actuelle, de 8,60 euros par ordonnance, bien insuffisante en soi.

Les pharmaciens doivent combattre toute proposition qui resterait dans une logique de redistribution de la marge, afin de dégager les moyens de rémunérer la coordination des soins. L’enveloppe doit provenir des économies faites sur les hospitalisations.

:-?