Il y a un vraiment un gros problème que ce soit de fond ou de forme.
Et je ne pense vraiment pas que l'on puisse trouver une solution rapide, certes notre métier n'est pas en accord avec ce que nous faisons chaque jour.
Aucune prétention de ma part, cependant mon boulot est largement équivalent a celui du pharmacien assistant(ouverture, fermeture de l'officine , caisse du soir aide aux apprentis, comptoir++++, conseil etc........) et honnêtement je ne pense que les "clients" fassent vraiment la différence.
Alors nouveau diplôme ou pas notre travail sera t'il mieux considéré, je doute.

Vous n'allez pas vous mettre à chialer comme la plupart des potards...

Si vous compreniez qu'à attendre que ça arrive, il ne vous arrive rien... vous deviendriez acteur!

Je viens de lire l'excellent article de Claire BOUQUIGNY dans le Moniteur du 24 octobre.

Si vous lisez avec attention vous verrez que même si nos positions ont été largement diffusées tant auprès des politiques que des journalistes, à aucun moment il n'est fait mention de notre existence. Pas question de faire de l'ombre...

Mais l'essentiel n'est pas là, nous pouvons nous réjouir que les partenaires sociaux et ministères en charge du dossier partagent l'essentiel de ce que nous proposions.

Je vous rappelle le texte de notre pétition lancée en janvier 2008 et n'ayant réuni que 1298 signatures :

Conscients d’appartenir à un réseau de soin qui doit rester l’un des plus performants au monde.
Certains que la justification du monopole pharmaceutique ne se trouve que dans la qualité d’un service rendu performant.
Certains qu’au coté du pharmacien un auxiliaire paramédical responsable et bien formé est indispensable.

Nous nous prononçons pour :

* un diplôme commun à toutes les spécialités de préparateurs en pharmacie : officine, hôpital, clinique, pharmacie mutualiste, SDIS, etc.
* une formation moderne, conforme à l’harmonisation européenne des diplômes,
* une formation en 3 ans dans un cursus licence "sciences de la santé",
* un métier ouvert par la création de passerelles entre professions paramédicales,
* un vrai statut professionnel,
* un titre plus en relation avec nos réelles fonctions,
* une formation professionnelle continue obligatoire permettant une remise à niveau permanente pour faire face à l’évolution de notre métier,

Pour le développement je vous laisse relire le courrier que nous avons adressé il y a quelques semaines à M. PROVOST. ==> http://www.pharmechange.com/article.php?sid=423&mode=thread&order=0&thold=-1

Bien sur au moment où ce chantier est lancé nous en sommes aux intentions, nous serons pour notre part très attentifs à l'évolution, les choix et les directions qui seront prises.

Les hospitaliers et en particulier l'ANPPH fait un travail remarquable et heureusement pour nous elle inclut toujours les officinaux dans sa réflexion.

Je rêve que nous soyons capable, un jour, de proposer une association aussi performante aux officinaux.

A vos Moniteurs!

Nous sommes combien de préparateurs en France?
Franchement 1298 signatures pour une revalorisation de notre métier un peu la honte, non.................
Manager , je suis entierement d'accord avec toi et je n'ai pas pour habitude de chialer sur mon sort. Mais franchement,tu penses que les autres préparateurs vont se mobiliser afin de proposer une association performante et défendre notre profession.
Quel beau rêve.................
On est très fort pour se plaindre mais dès qu'il s'agit de trouver des solutions il n'y a plus personne.
J'avoue que je rêve d'une profession reconnue à sa juste valeur car nous avons un métier essentiel.
(Si on creuse bien notre metier vaut de l'or).