je pense avoir compris la règle :toute spécialité substituable sur une ordonnance se doit de l'etre pour que l'assuré puisse bénéficier du 1/3 payant ,la seule exception étant la notification manuscrite ,ligne par ligne, par le médecin de la mention "non substituable".
je sais que la règle peut etre adaptable mais dans ce domaine ,je ne vois dans la non application que la volonté de vouloir satisfaire un patient et de ne pas le perdre comme client .

auriez vous la solution pour éviter que certains confrères ne l'appliquent pas ? Car le patient ,lui ,ne voit que l'interet de son porte monnaie .

>>la seule exception étant la notification manuscrite ,ligne par ligne, par le médecin de la mention "non substituable".

En fait, ainsi ça serait trop simple : ça ne concerne pas non plus les médicaments sous TFR.

C'est nettement plus compliqué que ça.

Chaque Cpam l'applique à sa manière. Par exemple en correze il suffit d'une ligne génériquée pour que le 1/3 payant se fasse.

Les exceptions:

- La mention "non substituable" par le médecin.

- L'avis du pharmacien dans l'interet du patient: Une personne agée seule, par exemple, qui a du mal à gérer ses médicaments et qui est perturbé par un changement. Tout les médicaments dont l'effet placebo est important ou en rapport avec des problèmes psy. Si tu substitues un anxiolytique, un somnifère ou un antidepresseur à quelqu'un qui est borné contre tu peux être sur que l'effet sera moins bon. Dans ce genre de cas, c'est à toi de voir si le refus tient de la maladie/de la detresse psy ou que c'est juste un emmerdeur. Pour les premiers je fais le tiers payant, les autres ils avancent la monnaie.

ne pas oublier de mentionner APNS(avis pharmaceutique de non substitution) sur la F.E.St l'original ordo et ça passe.