Le taux du LEP une nouvelle fois modifié par arrêté :

Pour le Livret d’épargne populaire (LEP), le livret réservé aux personnes les plus modestes, le règlement du Comité de la réglementation bancaire et financière a été, encore une fois, modifié.

Entre 2004 et 2007, le taux du LEP était fixé à celui du Livret A plus une majoration d’un point.

Cette majoration n’était plus que de trois quarts de point en févier dernier.

Elle ne sera désormais que d’un demi-point à compter du 1er août 2008.

Le taux du Livret d’épargne populaire passe ainsi de 4,25% à 4,50%.

Sans commentaire.

Message édité par : ElGringo / 03-08-2008 15:33

Sans commentaire non plus...

Merci à tous nos dirigenats de s'augmenter, eux, de 172% pour pouvoir passer de bonnes vacances au Cap Nègre dans la famille de Carlita et de nous laisser, nous, nous demerder avec les hausses du prix des carburants, des hausses des prix de l'alimentaire et de la stagnation des salaires...

Je serais le président du pouvoir d'achat, nous avait un jour déclaré le Fourbe au pieds courts... J'espère que ceux qui avaient apporté leur soutien à ce Nabot 1er regrettent un peu le manque de recul qui les vit mettre dans l'urne un mauvais bulletin...

J'irai chercher le point de croissance avec les dents déclarait encore le roi de la montrouse dorée et des lunettes qu'on en fait plus depuis Top Gun... Le point de croissance est parti en sucette, mais le Petit continue quand même à parader avec sa chanteuse sans voix...

Alors, les supporters U.M.P. (Une Merde de Plus) ; le pouvoir d'achat des Français, c'est quand que ça bouge ? Le point de croissance ; il est où ?

Fanfaron, tout dans la gueule, vantard, malpoli, vulgaire, quelle belle image de la France...

:=! :=! :=! :=!
bien exprimé bien vu rien à jeter

:=!

:=!

Que faire? :-o
Une révolution? :-o
J'ai bien peur que nous n'ayons ni le courage, ni la vaillance ,ni la fougue, ni la volonté de nos aïeuls qui
ont renversé la monarchie et qui ont su aller chercher plus tard, avec les dents, eux, les congés payés et les quelques avantages sociaux que nous avons. :|

Que sommes-nous devenus? :sleep:

des veaux...

et ne vous trompez pas, de l'autre coté, le résultat aurait été le même. la place est trop bonne, et ils sont trop déconnectés de la réalité quand ils y sont.
on peut tout faire avec l'argent des autres, c'est connu. tant qu'il y en a pour payer sans broncher...

Honnêtement ce n'est pas en faisant carrière dans la politique qu'on gagne beaucoup d'argent , tout au plus ça peut être un tremplin pour aller dans le privé et là vraiment gagner beaucoup d'argent .
Essayez de comparer la différence de revenus qu'avait notre ancien Ministre Thierry Breton quand il était à France Telecom et quand il était ministre pour vous convaincre .
Arretez de dire n'importe quoi !

Il a annoncé qu'il ferait quoi notre président à l'issue de son mandat ? Ah... Oui... Trouver un poste en tant qu'avocat dans une grosse boite... Peut-on en déduire que son mandat n'est qu'un "tremplin" ? Ceci permettrait d'éclairer ce ténébreux début de mandat sous un jour nouveau... :-o

Ceci étant, il est sans doute vrai qu'un homme politique ne fait pas fortune... Ceci étant, il ne vit pas avec le RMI (ou le RSA) non plus... Par rapport à d'autres pays tant cités en exemple comme les pays scnadinaves, leurs salaires sont quand même confortables, et les "à côté" bien nombreux...

Je parlais d'une manière générale, il est évident que je mettais le président de la république de côté, ça serait vraiment mal venu et mal perçu qu'il fasse carrière chez bouygues ou chez LVMH aprés...

Message édité par : zamaiev / 05-08-2008 14:00

Je crains qu'il n'ait déjà annoncé ne pas s'investir dans le monde caritatif à l'issue de son mandat... C'est une litote...

je pense qu'il te faut arrêter d'être naïf...
sais tu quelle est la première chose que votent nos députés lors de leur première séance à l'assemblée ? : leur augmentation.
je t'invite à lire ceci : http://www.capital.fr/magazine/Default.asp?revue=CCA&numero=202&numarticle=69199
histoire de redescendre de ton nuage, et de comprendre un peu ce qu'on peut faire avec l'argent des autres.
j'ai été comme toi un moment, et j'ai malheureusement compris. ma déception a été grande, je peux te le garantir...
mais on s'en remet, on a juste une vision différente des choses, c'est tout...

Pour info je suis abonné à Capital depuis 3 ans.
J'ai un client (à la pharmacie ) qui doit gagner entre 500 et 1000 fois ce que je gagne (ça dépend des années) je l'ai vu dans Capital ou Challenge (je sais plus), j'ai aussi un ancien premier ministre (socialiste) qui doit être maintenant entre 10 et 20 fois mon salaire annuel, c'est beaucoup mais en même temps les trains de vie ne sont pas vraiment , vraiment pas comparables, pourtant je suis sur que mon brillantissime socialiste de client n'en ait pas moins méritant que le premier . ;-)

alors là je ne te comprends pas... il faut que tu m'expliques comment tu peux cautionner cela en étant au courant de ce qu'il se passe...
attention (je préviens certaines réactions), je ne fais pas de l'antisarkozisme, car il y en a autant à dire en face.
je veux simplement que l'on m'explique comment on peut laisser faire ce genre de pratique sans rien dire.
merci...

Message édité par : SB69 / 06-08-2008 12:29

Tu mets un petit chiffon estampillé "U.M.P." devant tes yeux, et tu expliques que tu continues à voir le monde de manière claire et limpide...

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=42956

Quand j'ai cité LVMH , c'était avec ce petit sous entendu...

Je n'avais pas compris ; je viens de lire cet article ce matin...

C'est sur avec un chiffon rouge devant les yeux c'est beaucoup mieux pour discerner la réalité du monde dans lequel nous vivons .

Pour prolonger l'intervention de Lalie33 sur les acquis de nos aïeux,
J'ai lu dans un "Courrier International" de juillet un article écrit par un Anglais qui expliquait pourquoi le Marxisme revenait à la mode un peu partout sur la planète en ce début de siècle (*). Pour lui, nous vivons actuellement la deuxième grande période de mondialisation, après celle de la fin du XIXème siècle (l'époque coloniale). Comme à cette époque les inégalités se creusent entre ceux qui travaillent pour gagner leur vie et ceux qui vivent du travail des autres.

C'est ce qu'on appelle la lutte des classes, je ne vous apprends rien. Tant qu'un certain équilibre est maintenu entre les "classes" et que chacune d'entre elles se trouve bien à sa place (ex : les 30 Glorieuses). Mais si une partie de la société estime qu'elle n'a plus rien à gagner du système, c'est la crise. Et si cette partie de la société est en position de force (les bourgeois en 1789, les minorités nationales au XIXème siècle, les ouvriers pendant les trois premiers quarts du XXème siècle ou les "ultralibéraux" au tournant de ce siècle, on assiste à une Révolution. Avec ou sans violence...

Alors, Lalie, il faudra peut-être encore quelques décennies avant que ne soit bien ancrée dans les mentalités l'idée que la plupart d'entre nous n'a rien a gagné de l'orientation toujours plus libérale (et donc toujours moins démocratique, puisque l'Etat, donc les citoyens, perd petit à petit le contrôle de ce qui se passe sur son sol). Mais nous ou nos enfants y arriverons. Et alors, comme nos aînés, nous irons chercher avec les dents ce petit point de social en plus qui manque à notre bien-être intérieur brut.

A moins que d'ici-là la démocratie n'ait été liquidée... Le Moyen-Âge a duré 1000 ans, l'Empire romain 500.

(*) J'ai bien dit le marxisme, en tant que théorie socio-économique, et non les pouvoirs se réclamant du marxisme qui, eux, sont en voie de disparition. Sauf en Amérique latine.