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Déjà 1 an !#6203

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ElGringoWhoopsloulou77
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Un an après son élection à la présidence de la République, les pharmaciens, tout comme les Français, portent un jugement sévère sur l'action de Nicolas Sarkozy. Candidat favori des officinaux pendant la campagne, il semble aujourd'hui avoir totalement perdu leur confiance et cela en tout juste un an. Plus de 70% se déclarent ainsi mécontents de la politique menée par le chef de l'État, selon une enquête pour « le Quotidien ».

Nicolas Sarkozy fêtera demain sa première année à l'Élysée. Mais, pour cet anniversaire. Le moral des ménages est au plus bas selon le dernier indicateur de l'INSEE, et les résultats d'un sondage IFOP- Fiducial pour « Paris-Match » sont sans appel : 72 % de nos concitoyens se disent mécontents du bilan du chef de l'État, le même pourcentage que pour les pharmaciens. Seulement 35 % estiment qu'il a tenu les engagements qu'il avait pris durant la campagne présidentielle. 60% déclarent ne pas lui faire confiance pour mettre en place les réformes nécessaires.

Or Nicolas Sarkozy était le candidat favori des officinaux lors de l'élection présidentielle, d'après une enquête de l'IFOP réalisée en mars 2007 pour « le Quotidien ». Près de 50% des pharmaciens se disait en effet à l'époque prêt à voter pour lui au premier tour et environ 80% au second tour. Un plébiscite.
Pendant ce temps, son adversaire, Ségolène Royal, ne remportait l'adhésion que de 24 % des titulaires.

Mais, aujourd'hui, tout semble avoir changé. La majorité des pharmaciens estime que le chef de l'État n'a pas tenu ses engagements ni sur le réseau officinal (50,7 %) ni sur la défense du monopole (47,4 %) et sur la propriété de l'officine (42,5 %).

Autre indicateur de la perte de confiance vis-à-vis du président de la République : l'avis partagé des officinaux sur sa capacité à les défendre au niveau européen. Selon cette même enquète, 41,4 % des pharmaciens considèrent que Nicolas Sarkozy, lorsqu'il prendra la présidence de l'Europe, ne pourra pas agir pour la défense de la pharmacie française ; à l'inverse, 38,9 % affirment qu'il en aura les moyens ; mais une large part (20 %) hésite encore à se prononcer.

Pour l’heure actuelle, l'application de déremboursements, la poursuite du développement des grands conditionnements et la mise en place de franchises sur les boîtes de médicaments pèsent lourdement sur l'économie des officines. Et les pharmaciens, qui ont le sentiment d'avoir déjà suffisamment contribué, semblent aujourd'hui le faire payer au chef de l'État.
El Gringo
ElGringo ElGringoicon_post
Alors ? votre avis !
El Gringo
Whoops Whoopsicon_post
Mon avis n'a pas changé. :-)
loulou77 loulou77icon_post
question politique générale, honnetement, c'est pas terrible.
on passe du coq à l'ane, ex: 2002 les 35h, 2008 on fait sauter 18 jours fériés sur les payes des cadres en france, du délire. le juste milieu en france, ils connaissent pas, c'est soit le genfoutisme à gauche, soit l'exploitation de l'homme par l'homme à droite.
ce que j 'en pense loulou
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