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Nostalgie#5464

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eternityManagerDelphine66
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ManagerWhoopsBixente64bultus
eternity eternityicon_post
je me souviens au début de mes études...pas de 1/3 payant, que du collage de vignettes...au fond, la vie était plus simple pour les pharmaciens, les gens n'étaient pas à pinailler pour 3 sous, pas de problème de mutuelle...explications du principe du générique 20 fois par jour.
Avec cette nouvelle donne, moins de temps pour s' atarder sur les traitements.....

j'ai de plus en plus l'impression que les gens sont assistés, que c'est au pharmacien de leur rendre des services, de leur avancer des vignettes gratos, les pillules, le norlevo
....voir plus dans certains cas.

suis-je la seule à regretter ce temps où la vie était plus simple, et où je pense que la sécu se faisait moins arnaquer et où les assurés se rendaient plus compte de leurs dépenses.

Message édité par : eternity / 03-01-2008 20:44

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Franchement, je pense que tu n'es pas la seule, mais je ne crois pas que l'officine soit le seul secteur où tout s'est dégradé.

C'est la société entière qui part en c......, mais nous parlons d'un temps que les moins de...

Jusqu'où faudra t'il descendre pour se reconcentrer vers les vraies valeurs de la vie?
Delphine66 Delphine66icon_post
Nous encore, on a été le dernier département (avec la Corse je crois) à faire le 1/3 payant, on a gagné quelques années de bonheur !

C'est vrai que les gens croient que tout leur est dû et ils ignorent le prix de leurs médicaments. Il faudrait que chaque patient paie 10 % de son ordonnance totale pour se rendre compte du prix qu'il coûte aux caisses de remboursement ! 10 %, ça me parait bien, facile de calculer le montant total de l'ordonnance...
Delph.
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Il faut savoir que le 1/3 payant a été compris à l'époque par le public comme une avancée sociale et par la branche comme un moyen de retenir la création des pharmacies mutualistes.

Je ne pense pas que la subbro soit le seul élément responsable, notre image d'épicier nous l'avons aussi parfois un peu cherché.
Et puis à l'époque on arrivait à vivre avec le fruit de son travail.
C'est la société entière qui est malade.