Pour abonder dans le sens de mikepod, je pense qu'il ne faut pas travailler en mono-gamme, mais sans chercher, non plus, à trop se disperser... Prendre une gamme leader (Thuasne, DJO, Gibaud) et compléter avec un autre fournisseur.
Ne vous êtes-vous jamais demandé pourquoi vous ne délivrez jamais de C3 ? Et ce alors qu'il y a des ventes ? Parce que le marché vous passe sous le nez ; les orthopédistes, eux, ont ce genre d'appareillage et le délivrent...
Si j'ai un conseil à vous donner ; ne vous focalisez pas trop sur le la notion de dépassement ; la plupart des mutuelles prennent, aujourd'hui, en charge les dépassements et certains ont bien compris le truc en fonctionnant comme les opticiens... Ils demandent au patient quelle mutuelle il a et adaptent le prix de vente en fonction de la prise en charge du dépassement... Il faut faire un travail administratif en amont pour connaître les montants de prise en charge mutuelle par mutuelle.
Savez-vous que dans le cadre d'un accident de travail vous pouvez facturer bien au-delà du LPPR ?
L'orthopédie est une niche dans la pharmacie, mais c'est encore un secteur d'activité où vous pouvez négocier vos prix d'achat sans limites légales et vendre encore, aussi, en déterminant au mieux votre prix... (Pis ça marge pas trop mal une attelle articulée du genou...)
Là où commence le découragement, se lève la victoire des persévérants.