Les pharmacies des quartiers de Barbès à Paris et de Sarcelles n'ont pas échappé aux débordements du week-end dernier. Dans la ville du Val-d'Oise, l'une d'elle a été totalement détruite.

Nous ne pouvons qu'être solidaire de nos confrères dans ces moments difficiles, je ne peux une fois de plus que regretter que nos confrères ordinaux ou syndicaux n'aient jamais pensé à un fond de soutien, cellule psychologique..... qui reviendrait peu cher puisque l'essentiel du financement de ces dégâts reviendrait aux assurances.
Je ne suis pas certain que le mot confraternité est valu un jour dire quelque chose et encore moins certain qu'il le sera davantage demain.

PS : N'étant pas venu ici depuis une éternité, je viens de répondre à de nombreux MP en souffrance.
Je vous prie de m'en excuser, je suis malheureusement parfois obligé de faire face à d'autres priorités professionnelles ou associatives.
Si je ne réponds pas ici, vous savez où me trouver.

Ce n'est qu'un début.

jyt, il me semble que la FSPF est venue régulièrement à l'aide de confrères victimes de catastrophes naturelles type inondations.
Alors oui on peut déplorer que ce soit un syndicat et pas la profession elle-même (via l'Ordre?) qui prenne ce genre d'initiatives...

Je ne nie pas que des interventions ponctuelles et non organisées n'aient eu lieu par le passé et n'auront lieu dans l'avenir.
Je paraphraserais un ancien Président de la république en disant que la FSPF n'a pas le monopole du cœur.