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AVENIR DE LA PHARMACIE#4591

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Mais s'il y a ouverture du capital, ne serait-ce que très partiel, ça ne s'arrêtera pas là. Comment croire que ceux qui réclament le gâteau se contenteront d'une part ? C'est se donner du répit pour quelques années et après replonger... C'est pareil dans toutes les négociations que nous menons aujourd'hui : à peine arrivés à un accord, cet accord est remis en cause et tout est remis sur le tapis (Cf discussions sur les TFR hauts, la conclusion que les pharmaciens étaient utiles au début pour imposer les génériques mais ne servent désormais plus à rien, donc pourquoi le ménager ?).

C'est la Commission de Bruxelles qui est favorable au changement. un changement dans lequel n'est intégré qu'un aspect économique du problème, qui plus est dogmatique... Les pharmacies anglo-saxonnes assurent-elles un fonctionnement qui puisse en faire des modèles pour le monde ? C'est stupéfiant... Il suffit de voir le nombre de pays amenés au procès pour comprendre simplement que la france n'est pas la seule à partager son point de vue.

La fspf appelle aussi à un changement, mais de quel changement parle-t-on ? Et pourquoi ?... j'attends de voir ce que chaque syndicat propose avant de donner mon avis sur leurs propositions (c'est toujours mieux ;-) ).

Message édité par : Whoops / 24-09-2007 23:47

luckyluke luckylukeicon_post
Citation : loulou77

des courants internes à la profession, et oui les quelques uns qui possèdent 20 à 30 pharmacies sous forme de sel, ont intérêt à faire sauter le système, ceux là n'ont pas intérêt à voir paraitre le décret sur les sel.



Ok, merci pour ces réponses, mais cette phrase je ne la comprends toujours pas!
Pourquoi les actionnaires d'une 20aine d'officines seraient gênés par une ouverture massive à des capitaux extérieurs? De toute façon ils sont en place. A cause de la diminution des officines rurales?
Autre question très bête!! On parle d'engagement de diplôme lors d'une participation à +50% des parts? Cela veut dire que l'on peut ensuite posséder 49% dans x officines?? Je croyais jusqu'à présent que c'était 100%...
Merci à vous tous
Whoops Whoopsicon_post
Ah ok, je ne comprenais pas ta deuxième question. En fait, loulou77 ne parle pas du problème de l'ouverture du capital pour ceux qui possèdent déjà x pharmacies, mais du décret qui limite le nombre de pharmacies dans lesquelles un même pharmacien peut avoir des parts. On va dire un nombre y, puisque ça a tendance encore à évoluer au fil des discussions...

Ce qu'il faut retenir sinon avec les SEL, c'est : tu as 50+% des parts dans une officine, tu travailles dans cette officines et tu ne peux pas prendre plus de 49,99% des parts dans les "y" autres officines... tu joues le rôle de l'investisseur.
luckyluke luckylukeicon_post
Merci, j'ai bien compris maintenant. C'est bien ce que je pensais, total=100%, c'est pas toujours très clairement explicité. Merci bcp à toi.
Sinon autre chose pour les jeunes qui veulent se lancer, la question super-tabou pour un français, les salaires!!
Et oui, un adjoint veut devenir titulaire, mais ne sait bien souvent pas quelle sera sa qualité de vie, et surtout à court terme. On a peur des chiffres dans notre pays, tant et si bien que lorsque l'on se renseigne, on trouve n'importe quoi. Deux exemples trouvés sur le net :

- Salaire moyen net estimé d'un titulaire en france : 102 000€/an en 2001 (officiels, INSEE),
- 90% des officinaux se contentent d'un revenu mensuel moyen bien inférieur à 3 048€ (source APCE, "profession pharmacien").
Alors je suis bien conscient que des disparités existent entre les titulaires, mais à ce point là!!!!
- Et moi j'avais toujours entendu dire, approximativement des revenus de l'ordre de 10% du CA annuel.
Alors mesdames et messieurs les titulaires, quelqu'un veut-il bien se lancer? Dévoiler un indice ?
Aidez-nous SVP!!
Bien cordialement.

Message édité par : luckyluke / 25-09-2007 13:53



Message édité par : luckyluke / 25-09-2007 13:54

SB69 SB69icon_post
les chiffres on leur fait dire ce qu'on veut...
en sel, justement, le salaire est défini dans le pacte d'associé.
en ce qui me concerne je touche moins qu'assistant en bossant 2 fois plus par semaine au moins...
par contre je capitalise... problème avec tout ce qu'il nous attend retrouverai je mon capital en partant ?

pour une société en nom propre ou nom commun, même principe, le résultat en fin d'exercice sert à rembourser ton crédit, puis à te payer.

accessoirement tu peux aussi décider d'en réinjecter dans la boite en prévision de travaux etc...

bien se mettre en tête que le banquier passe avant toi, ce qui fait que certains titulaires ne se payent pas les premiers temps...

alors en effet si j'enlève ce que je rembourse au banquier, je dois arriver à 102 000 € en moyenne par an.

mais si cela était aussi simple...
www.pharmaticien.com
Et sur Twitter : @Pharmaticien
luckyluke luckylukeicon_post
Merci à toi.
Ce qui n'est pas rassurant, c'est que vous avez tous l'air tellement triste!
J'ai bien compris que l'âge d'or n'était plus d'actualité, mais enfin une fois vos créances remboursées, vous retrouverez le sourire! En tout cas je vous le souhaite.
Bonne continuation et bon courage à toi!
SB69 SB69icon_post
ce n'est pas une question d'être triste,
en ce qui me concerne c'est une question d'injustice... je suis prêt à faire des efforts pour réaliser des économies, relancer la croissance... mais je ne suis pas responsables des erreurs de mes ainés.
aujourd'hui j'ai vraiment l'impression de me faire sanctionner à cause d'eux, alors que je n'y suis pas pour grand chose...
tel est mon sentiment actuel (surtout après avoir vu ce que j'ai vu en tant qu'assistant).
je te rassure, je fais avec, et ça ne m'empeche pas de vire.
c'est du gachis, c'est tout.

sinon whoops a aussi très bien résumé le ressenti actuel quant à l'ouverture du capital.
ce ne sera pas un mal en soit, certes, mais quelle perte d'indépendance, et quel gachis là encore pour la santé publique.
si cela doit se confirmer, je sais déjà quelle position j'adopterai ;-)
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Et sur Twitter : @Pharmaticien
loulou77 loulou77icon_post
en fait les variations de revenu d'1 pharmacien titulaire vont de 30000 euros à 200000 euros net, je te rassure de suit sb69, 200000 euros sont reservés en gros à 50 de nos confrères ( les plus grosses boites de france), ça avait fait l objet d 1 article dans capital, qui citait, les pharmaciens se payent comme des pdg de grosses entreprises, c'est dire.
le pb dans notre système, c'est qu'on espère retoucher à la sortie ce qu'on a pas eu au départ ( la capitalisation), je prefererais 100 fois toucher 7000 euros par mois et ne rien revendre comme les toubibs, mais ça n arrange ni les banques, ni les assurances.
et quand tu vois qu en allemagne un fond se vend en moyenne 25% du cattc, on a du souci à se faire.pour ce qui me concerne mon salaire est de 2500 euros net et je rembourse 6000 euros par mois.
en moyenne un titulaire qui a remboursé se remunère 7000 euros net, reste 4000 voir 4500 euros après impôts, c'est ce que je préfère regarder.
Whoops Whoopsicon_post
Histoire de situer la position d'au moins un syndicat de titulaires (FSPF) sur la question de l'ouverture du capital, voici cet extrait tiré du supplément n°1 du Pharmacien de France n°1193. Je pense que s'il ne vous apprendra sans doute rien, puisqu'il énonce des arguments, des stratégies et des prévisions finalement rapportées sur Pharmechange depuis déjà pas mal de temps, il peut servir à remettre les pendules à l'heure, montrer que les discussions que nous échangeons ne sont pas que des divagations et que nos idées sont partagées par d'autres...

"L'Europe, ce "grand machin", comme disait le général de Gaulle, a été l'objet de débats intenses en séance plénière comme dans les ateliers de travail. L'impression générale est celle d'une menace mal comprise mais réelle. En d'autres termes, les voies de la Commission européenne sont parfois impénétrables mais ses conséquences bien palpables : la France a été attaquée sur l'ouverture du capital de ses officines en mars dernier, par la voix du fameux Charlie McCreevy, Commissaire européen au Marché intérieur et à la protection des consommateurs. [...] La majorité des observateurs voit le capital des pharmacies françaises s'ouvrir d'ici 2009 et le réseau se contracter violemment de 5000 pharmacies. Le scénario est bien rodé et la plupart des pharmaciens l'ont intégré malgré eux. Dès le capital ouvert, les "holdings étrangers", selon les termes de Roselyne Bachelot, se jetteraient sur les meilleurs emplacements : coupées d'une partie de leur CA, les officines les plus fragiles péricliteraient, les autres faisant au contraire florès. Comme peut en témoigner Christian Elsen, secrétaire général de l'Association pharmaceutique belge, "en Belgique [où le capital des officines a été ouvert aux personnes morales, NDLR], plus aucune officine importante ne peut être acquise par des jeunes titulaires, seuls les grands groupes sont intéressés financièrement."

Que faire ? Se tourner vers l'Etat, peut-être.

Mais si le soutien gouvernemental était acquis avant l'élection de Nicolas Sarkozy, aujourd'hui, rien n'est moins sûr. Les "rentes de situation" et la Commission Attali sont passées par là.
Pourtant, comme l'a déclaré la député européenne Françoise Grossetête par vidéo interposée : "Quand un système fonctionne bien, je ne vois pas pourquoi il ne servirait pas d'exemple au niveau européen." Les luttes de pouvoir entre Parlement et Commission européenne pourraient faire le jeu des pharmaciens français : échapper aux griffes de la seconde en se réfugiant dans les bras du premier, qui va édicter d'ici un ou deux ans une directive sur les services de santé, propre à encadrer la profession. L'idée maîtresse est donc de gagner du temps, d'autant que la France va prendre la présidence européenne mi-2008. D'où l'idée de la motion instituant un moratoire sur les injonctions européennes, votée en plénière [de la FSPF] à une écrasante majorité."

Article de Laurent Simon.

Message édité par : Whoops / 26-11-2007 15:42

Whoops Whoopsicon_post
Dans les Nouvelles Pharmaceutiques n°351 :

"La France soutient l'Italie et l'Allemagne devant la CJCE :

La procédure française : pas de développements nouveaux.

Les autorités françaises ont répondu le 29 juin dernier à la lettre de mise en demeure qui leur avait été adressée par la Commission européenne le 21 mars dernier. Pour mémoire, quatre points de la législation pharmaceutique française sont attaqués pour non-conformité avec l'article 43 du traité relatif à la liberté d'établissement dans l'Union européenne :
- réserve de la propriété du capital aux pharmaciens ;
- interdiction de gérer plus d'une pharmacie ;
- incompatibilité avec l'exercice d'une autre profession ;
- consultation de l'Ordre dans les procédures d'autorisation.

Depuis lors, silence radio. La Commission n'a donc pas encore décidé de passer à l'étape suivante, qui est celle de l'"avis motivé", des discussions ayant débuté entre les autorités françaises et la Commission.

Soutien apporté par la France à l'Italie et à l'Allemagne :

Parmi les autres Etats qui sont mis en cause sur la propriété du capital (Espagne, Autriche, Italie, Allemagne), l'Allemagne et l'Italie en sont à un stade plus avancé de la procédure : ces pays se trouvent déjà devant la CJCE. Dans le cas de l'Allemagne, il s'agit d'une question préjudicielle qui a été adressée par un tribunal régional allemand le 20 mars dernier. Quant à l'Italie, il s'agit d'une procédure d'infraction similaire à celle lancée contre la France. L'affaire a été publiée par la CJCE le 24 février dernier. L'impact de ces deux types de procédures n'est pas le même, puisque dans le cas d'une procédure d'infraction, d'autres Etats membres seraient susceptibles d'adapter leur législation afin de se mettre en conformité avec la jurisprudence de la Cour, ce qui est moins probable pour une question préjudicielle.
Toutefois, ces deux décisions de la CJCE seront déterminantes dans la mesure où la Cour sera invitée à se prononcer pour la première fois sur la question de la compatibilité de la réserve de propriété du capital aux pharmaciens avec les principes du traité. Ces décisions auront donc un impact majeur sur l'évolution de la procédure engagée contre la France.

Il était ainsi tout à fait opportun que la France intervienne pour défendre l'Allemagne et l'Italie devant la CJCE. C'est ce que les autorités françaises ont fait, en envoyant, par l'intermédiaire des services du Secrétariat général aux affaires européennes (SGAE), deux argumentaires de qualité, l'un début août 2007 pour l'Allemagne et l'autre fin septembre pour l'Italie.
L'Ordre avait à deux reprises (en juin et en août 2007) fait la demande aux autorités françaises d'utiliser cette possibilité qui leur est offerte par la procédure et avait envoyé un certain nombre de documents pouvant aider à l'élaboration de ces argumentaires. C'est avec satisfaction que nous constatons que les services du SGAE ont su saisir cette opportunité pour réaffirmer avec conviction la défense du modèle pharmaceutique français.

Décisions de la CJCE pas avant fin 2008

La France n'est d'ailleurs pas isolée dans cette démarche, puisque d'autres Etats ont souhaité être associés à ces procédures. Ainsi l'Espagne, l'Autriche, la Lettonie et la Grèce ont également souhaité soutenir l'Italie. Dans la procédure allemande, outre la France, cinq Etats interviennent en défense de l'Allemagne (Grèce, Autriche, Italie, Allemagne, Finlande), la Pologne intervenant en soutien de la Commission européenne, et l'Irlande dans une position neutre. On peut don peut-être espérer que le débat dépasse les simples considérations juridiques pour prendre une ampleur plus politique. Dans tous les cas, les décisions de la CJCE sur ces procédures ne sont pas attendues avant fin 2008-début 2009."

Voilà, quand on connait les discussions qui ont eu lieu autour de ces réponses de la France à la Commission, on peut peut-être lever les yeux au ciel en lisant certains passage, mais il y a tout de même pas mal de choses intéressantes à savoir dans cet article, y compris la date tardive des décisions, quand on sait que Parlement et Commission se livrent actuellement à un contre-la-montre.
Concernant le jugement de l'Italie, il y a peut-être encore quelques trucs cachés dans la manche.

Message édité par : Whoops / 21-12-2007 22:14

loulou77 loulou77icon_post
j entends bcq de personnes ( directeurs cerp, ocp) me signifier ouverture du capital pour 2010 , info ou intox ?
dans un premier temps revendre des parts de la pharmacie, et récupérer de l argent, oui avec plaisir, mais alors rendre un résultat toujours à la hauteur des investissements extérieurs, vendre les produits du groupe avec prix déjà défini, ça non merci, où est l investissement personnel, il y a bien des produits que je ne commande pas parce que je n ai pas envi de les conseiller, qui commande alors ?
ramses ramsesicon_post
C'est le pb. On ne peut pas avoir le beurre, l'argent du beurre et la crémière en plus...
loulou77 loulou77icon_post
à ramses, vendre, c'est simplement récupérer le fruit du travail, 50h au lieu de 35h, le stress en plus ( gros crédit sur le dos), c'est un vaste débat, et on ne comprend que lorsque on traverse la barrière, c'est pas compliqué, depuis mon dernier poste d'adjoint ( 1998), je ne suis jamais parti en vacances l'esprit dégagé totalement du travail, la faute à qui ? la faute au crédit.
SB69 SB69icon_post
pareil...
et encore quand tu peux prendre des vacances...
www.pharmaticien.com
Et sur Twitter : @Pharmaticien
ramses ramsesicon_post
à Loulou, mais je sais! installés 10 ans en pharmacie balnéaire (Bretagne), 6 jours sur 7 hors saison et 7j/7 l'été, ,9 à 10h d'ouverture par jour, et 1 semaine de vacances par an et encore... les bonnes années seulement....on a craqué au bout de 10 ans et on y réfléchit à 2 fois avant de s'y recoller..j'ai loupé plein de choses avec les enfants... ce que je voulais dire c'est que s'il y ouverture du capital et que l'on décide de vendre ses parts à un labo, ou un grossiste ou un investisseur landa, on ne pourra plus avoir les manettes pareil ...c'est ou récupérer le capital ou essayer de ne pas se noyer...c'est le choix qui n'est pas juste..c'est pour ça que je dis malheureusement que ce ne pourra pas être le beurre et l'argent du beurre.. mais en le déplorant...
loulou77 loulou77icon_post
ok ramses, tu sais, on est un peu sur les nerfs en ce moment, enfin bon, vivons au jour le jour, mais à ce que j ai compris, tu as à peu près 2 ans maxi pour te décider, après ça sera bcq plus difficile de replonger ( doux euphemisme), si ouverture du capital.
loulou
ramses ramsesicon_post
Pourquoi loulou? explique! a cause des prix qui vont grimper? y aura t'il des pharmacies rentables achetées chères par les investisseurs? et celles qui ne les intéressent pas qui seront invendables?j'attends 2 ans ou je me lance?donne moi ton analyse
loulou77 loulou77icon_post
dès ouverture, les fonds de pension vont mettre le paquet sur tout ce qui est rentable ( les prix vont flamber), vont d'abord s'attaquer aux grosses pharmacies, > 2.5 meuros, imagine si tu ne veux pas laisser de parts : ocp, alliance et cerp vont s entendre, tu ne me laisses pas de parts sociales, et bien je ne te fais plus de remises, voilà comment je vois la chose,
moi je crois que si opportunité il faut y aller, parce que céder des parts sociales en se ménageant, dans un contrat, ( je rêve peut être)
par contre ça sera bcq plus compliqué de bien négocier si l'ocp, alliance ou autre sont en place, que ce soit au niveau rémunération et objectifs.
ce n 'est pas très reluisant comme perspective mais c'est le fond de ma pensée.

loulou
ramses ramsesicon_post
glups... en fait ça va être wait and see.. des remplacements quoi..
ramses ramsesicon_post
un confrère me dit que le numerus clausus ne va pas passer. Que le texte a été rejeté
C'est vrai ça?
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Êtes-vous un chef d'entreprise optimiste ou pessimiste ?
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Telles sont quelques-unes des questions de cet ouvrage destiné aux titulaires ou à ceux qui souhaitent le devenir...


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