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Vos propositions sur la formation initiale.#214

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ManagerDelphine66chatelboBixente64bultus
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A vous. :=!
preppharma preppharmaicon_post
Evolution d'une profession.


De tout temps, l'art de Pharmacie est pratiqué par l'homme. La transmission de la science pharmaceutique et le savoir faire ont traversé les siècles. Des "maîtres de la médecine" comme Hippocrate, avaient déjà besoin, 400 ans avant JC, de ses "aides" pour préparer les remèdes dictés par leurs supérieurs. Les premiers préparateurs en Pharmacie étaient nés&_#8230;
Mais il a fallut attendre 1873 pour la mise en place "officielle" du premier certificat d'instruction pratique pour accéder au titre "d'aide Pharmacien". En 1907, le ministère du travail validera le terme de "préparateur en Pharmacie". Le statut actuel du préparateur en Pharmacie, est malheureusement resté inchangé depuis sa création le 24 mai 1946. Certes, quelques modifications sont intervenues, comme en juillet 1977 avec la naissance du Brevet Professionnel (BP) du préparateur en Pharmacie. Plus récemment, en 1997 le BP a subit une rénovation, injuste à mes yeux, avec le mise en place d'un nouveau référentiel(sans nouveau changement de statut).
Avec la suppression du CAP et de la mention complémentaire, on demande aux nouveaux élèves d'être titulaire d'un BEP sanitaire et social ou d'un BAC. Jusqu'à présent cela me semble normale et justifier(peut moins pour le BEP) en raison du programme. Juste aussi, avec des responsabilités grandissantes qui interviennent quotidiennement dans notre profession. En effet notre rôle, au sein de l'officine, a changé depuis les années 70, nous ne sommes plus cantonné derrière notre préparatoire a exécuter des formules prescrites. Aujourd'hui toujours sous la responsabilité du pharmacien(ce qui est logique et le restera) nos taches ont évolué en de nouvelles responsabilités et à mon avis celles-ci ont augmenté considérablement. Se retrouver derrière un comptoir à dispenser une ordonnance médicale ou à promulguer des conseils thérapeutiques a des patients, est-ce à la portée de tout le monde? A l'origine ce travail revenait exclusivement au pharmacien, mais l'accession des soins a l'ensemble de la population, nous avons fait appel aux préparateurs dévoués.
Le point de vue qui me semble injuste se situ dans le nouveau référentiel, plus précisément le niveau du diplôme qui est resté le Brevet Professionnel. Je me suis renseigné auprès du rectorat de Lille sur le niveau du nouveau BP, il est de niveau IV au même titre que le BAC.
N'aurait-il pas été plus logique, de créer un nouveau BTS? (Brevet de Technicien Supérieur). Comme le BP, cette formation a l'avantage de se faire en alternance et surtout de niveau III, ce qui serrait plus logique dans notre métier. De plus, l'obtention de ce diplôme nous permettrait une meilleur évolution de carrière, puisque nous pourrions accéder a des DU(Diplôme Universitaire).
En conclusion, en 1997 la création du nouveau référentiel n'a pas été suffisamment réfléchit, mais étions nous là? Il aurait peut être fallu changer le statut de préparateur en Pharmacie inchangé depuis 1946, au lieu de modifier le BP. Le diplôme actuel ne correspond plus à la réalité d'aujourd'hui.
Je vous invite a réfléchir sur un nouveau statut de notre joli et agréable métier. Ensemble, nous pouvons devenir un organe consultatif lors des prochaines décisions législatives nous concernant.
C'est peut être une idée utopique, mais si nous travaillons pas ensemble, Qui va le faire?
:-?
Delphine66 Delphine66icon_post
Je vois que "Preppharma" s'exprime beaucoup...lol... :=!
C'est bien résumé, tout est dit je pense.
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Je partage dans les grandes lignes le point de vue de preppharma, que je salue au passage.
Il faut exiger que le diplôme de préparateur en pharmacie soit reconnu de niveau III, c'est une réalité aujourd'hui. Bac + 2 = niveau III.
Ce classement permettrait aux collègues qui le souhaitent de préparer les DEUST par exemple.
Je pense également que le statut de préparateur en pharmacie mériterait une révision, pour le réadapter à la réalité d'aujourd'hui.
Nous sommes des para-médicaux, nombreux sont les collègues possesseurs du brevet de secourisme, pourquoi ne pas l'intégrer au référenciel.
Il me semble important que la préparation magistrale et officinale soit maintenue à l'examen.
La préparation reste le fondement de notre profession, les mesures de déremboursements prises, le peu de formation des prescripteurs, le désintérêt des titulaires font que nous en faisons de moins en moins. Pourtant nos clients en redemande, c'est dans l'air du temps le naturel et le sur-mesure.
Pourquoi ne pas revaloriser les produits conseils "maison" fabriqués selon des formules validées et des protocoles de fabrication et de conservation définis.
Voila quelques pistes pour votre réflexion. :=!
chat chaticon_post
d'accord avc tout cela !!!!!!!! on ne peut être que d'accord !!!
les cartes sont AUSSI ds nos mains :-) :-)

Chat
mesnilgarnier mesnilgarniericon_post
juste une chose pour compléter le sujet de preppharma ;le préparateur hospitalier est passé au niveau III il y a quelques années: :-o pourquoi cette différence? :-| si ce n'est pour divisé notre proffession :paf pourquoi les syndicats de salarié ont ils laisser faire cette abération? oui à une ou deux années aprés le bp!! je sais que le boulot est different à l'officine et à l'hopital j'ai testé les deux mais pourquoi un tronc commun pour le bp puis une spécialisation sur 2 ans pour officine avec de la gestion de l'informatique conseil comptoir marchedesing etc et pour l'hopital stérilisation matériel hospitalier oxygéne etc
vivement le niveau III pour tous les préparateurs :-D :=! mais pour cela il faut se regrouper soit association ou syndicat moi j'ai choisi FORCE OUVRIERE depuis trois ans ils m'ont beaucoup aidé pour faire valoir mes droits :-D ;-) alors sauter le pas
hadda haddaicon_post
bsoir dominique,
je suis d accord quand a l organisation des salaries pour defendre leurs droits,je viens moi meme de me syndiquer apres 8ans d assistanat,dans un grpe dont je ne citerais pas le nom;
je crois que tu parles un peu trop de FO,ce n est pas un site propagandiste,ou alors je me suis trompe de site...... ;-)
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Vous ne vous êtes pas trompée de site Hadda, si vous souhaitez parler d'un autre syndicat, je n'oblige que moi-même à la pluralité, la pluralité ce n'est pas non plus de ne parler de personne.
Je ne supprimerai donc pas les messages qui parle respectueusement de tel ou tel syndicat, pour moi se syndiquer est une bonne démarche, le choix du syndicat est un acte personnel.
:=!
Bixente64 Bixente64icon_post
Un point de détail que je ne saisis pas : pourquoi le fait d'avoir un BP revalorisé au niveau III nous permettrait d'accéder à un DEUST. Je m'explique ; le DEUST sanctionne une formation unniversitaire au niveau bac+2, soit justement le niveau III de l'éducation nationale. Pour pouvoir accéder à une formation universitaire, il faut être titulaire d'un baccalauréat (niveau IV), ou d'un diplôme équivalent (la liste existe, mais je ne l'ai pas actuellement). Donc, le problème n'est pas de faire valoriser notre vieux BP en bac+2, mais de faire en sorte que, puisqu'il est reconnu comme niveau IV, il apparaisse sur la liste des diplômes permettant d'accéder à une formation universitaire. Cette démarche me semble, a priori, mais je n'y connais rien, plus simple.
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Mon point de vue est le suivant :
Les hospitaliers viennent de voir leur diplôme revalorisé au niveau III, il n'y a aucune raison pour que notre diplôme prenne du retard sur celui de la fonction publique, il faudrait qu'il n'y ait qu'un seul et unique diplôme avec éventuellement une dernière année plus spécialisée. Un pont devrait être possible ensuite, pour passer d'un statut à l'autre. :b
olivier91 olivier91icon_post
Bonjour!
il y a tout de même un problème dans l'esprit de certains:
Le BP est un diplôme de niveau VI , certes, mais ce n'est pas un BAC, d'ou, pour l'instant l'impossibilité d'aller plus loin.
C'est encore moins un BAC+2 comme certains peuvent en rèver (allez faire un tour en 1ère année de Fac pour voir la différence de niveau...)
De plus, actuellement, la pharmacie ne recrute pas tant de bacheliers que l'on pense, malgré les chiffres que l'on voit ici et là.
En ile de france, le plus gros du recrutement des jeunes en formation passe par le BEPsasso depuis la disparition du CAP, et là, bonjour les dégats!!! (voir l'effondrement des résultats au BP ces dernières années...)
On voit débarquer des jeunes qui n'ont ni le niveau (en échec scolaire depuis bien longtemps déjà..) ni la motivation pour aller au bout de la formation (sans parler des problèmes comportementaux pendant la formation ou sur le lieu de travail). Et si l'ile de France n'est pas représentative de ce qui se passe sur le reste du territoire, c'est tout de même la région qui forme - en nombre - le plus de préparateurs.

Alors, revalorisation du diplôme, d'accord, mais avant celà, il faut revoir les filières d'accès à la profession.
olivier91
elbo elboicon_post
pardon Olivier ...mais il me semblait que le niveau BAC était obligatoire maintenant pour accéder au BP ...!!! Manager ou d'autres collègues confirmeront ...!!!! tout change si vite que je ne suis plus certaine ...!!!! :#
Manager Managericon_post
Tout d’abord, je tiens à vous saluer, vous êtes quelques formateurs de l’ACPPAV à nous rejoindre et cela me réjouit, dans mes premières démarches pour faire connaître le site, j’avais pris contact avec les 71 établissements formant des préparateurs en métropole et outremer, je pense en effet que nos échanges de points de vue peuvent être intéressants et que les contacts que nous avons sur le terrain avec les enseignants sont insuffisants.
Donc bienvenue à l’ACPPAV et plus généralement bienvenue à tous ceux qui, pharmaciens ou préparateurs, participent à la formation des générations futures.

Citation :
« Alors, revalorisation du diplôme, d'accord, mais avant cela, il faut revoir les filières d'accès à la profession. ».

Sur ce sujet, je suis plutôt d’accord avec vous, à l’officine ou je travaille nous formons régulièrement des apprentis, actuellement nous avons une apprentie ayant un BAC scientifique, une autre ayant un bac pro, il est évident que l’apprentie bachelière scientifique n’aura aucune difficulté à obtenir sont examen, pour la seconde, les choses seront nettement plus complexes, même si nous avons prévu la former sur trois ans, son niveau est manifestement plus juste. Je pense donc, et c’est là où je vous rejoins, que le niveau permettant de suivre son cursus dans de bonnes conditions est le niveau BAC S !

De tout temps, et je vous parle d’expérience, la formation du préparateur en pharmacie a été une formation fermée, il n’est pas rare que des jeunes arrêtent leurs études par sacrifice au présent(rémunération, désir d’indépendance etc..), aucune seconde chance d’évolution ne leur est donnée dans notre profession. Dans le cas présent, il ne s’agit pas de capacité intellectuelle, il s’agit d’accès à des études supérieures.

Evidemment cela ne concerne pas tout le monde, mais si je prends l’exemple de l’apprentie bachelière dont je parlais plus haut, ses questions actuelles sont qu’est-ce que je peux faire d’autre avec mon diplôme ?
La réponse est : pas grand-chose. De nombreuses formations ne lui sont pas ouvertes alors qu’elle en aurait sans conteste le niveau.
Voilà donc, une élève qui aura fait deux années de formation pour avoir un niveau scolaire reconnu équivalent à celui qu’elle avait en commençant.

Je suis d’accord avec vous il ne faut pas faire de l’exception une règle, mais il est toujours valorisant de tirer une profession par le haut !

Lorsque vous me parler de la première année de fac, je ne doute pas un instant qu’elle n’ait rien à voir avec une première année de formation de préparateur, les objectifs sont aussi très différents.

Voila donc les raisons essentielles pour lesquelles je milite pour une revalorisation de notre diplôme, laisser la possibilité à ceux qui le voudront ou le pourront d'aller plus loin dans notre profession ou dans une autre relative. :=!
olivier91 olivier91icon_post
D'accord avec vous Manager sur la revalorisation du diplôme, il faut bien sûr essayer de "tirer vers le haut", celà va par contre laisser nombre de jeunes sur le carreau....J'entends déjà certains hurler à propos de la "mission" sociale d'examens du type CAP-BEP-BP...mais il faut faire quelque chose, car actuellement, compte-tenu du niveau de la grande majorité des élèves en formation dans les officines et dans les CFA, le niveau d'exigence réel - même s'il est défini par référentiel - a plutôt tendance à baisser, alors que le BP 1997 était censé mettre la barre plus haut.
mgm mgmicon_post
Actuellement stagiaire dans un CFA (formation initiale BP) pour l'obtention du diplôme de cadre de santé (filière préparateur hospitalier) : nouvelles perspectives d'évolution de carrière de notre métier :=! . Je suis peut être un peu radicale, mais je pense qu'il faut redéfinir complètement la formation des préparateurs en pharmacie et commencer par le CSP qui définit le métier : travailler sous la responsabilité du pharmacien, d'accord, mais sous le contrôle effectif de celui-ci :-| ? Qu'est-ce que cela veut dire réellement ? A quelle réalité se refère-t-on :-? ? Les préparateurs sont des professionnels et sont confrontés à cette inadéquation entre théorie (travail prescrit) et pratique de terrain. Il y a combien de pharmaciens qui contrôlent effectivement le travail des préparateurs :-? ? Devons-nous nous considérer comme faisant partie intégrante d'une équipe pluriprofessionnelle dont le fondement est la complémentarité ? Sommes-nous des collaborateurs ? Nos compétences ont besoin d'être reconnues et cela passe nécessairement par la revalorisation du diplôme. Il y a déjà séparation des filières (officinale et hospitalière) avec homologation au niveau III pour les hospitaliers et accès au cursus universitaire (management dans mon cas). En ce qui concerne la formation : certains modules me semblent obsolètes et d'autres trop poussés (chimie...) car les étudiants doivent acquérir beaucoup de savoirs (même périmés) en très peu de temps. Certains de ces savoirs ne seront jamais utilisés dans leurs fonctions. Les méthodes d'enseignement se bornent à des cours magistraux et des TP (qui prépare encore des cachets, des pilules ?) faits pour coller à un référentiel. Ainsi, les formateurs, pris par le temps, élaborent leurs interventions uniquement par rapport au référentiel dans le but de transmettre les savoirs obligatoires par la méthode que j'appelle "gavage", pour l'obtention du diplôme. Ceci suggère une formation avec un "rendu" de connaissances (cause d'autant d'échecs ?) et non une utilisation de connaissances. A ce niveau on peut s'interroger sur la nature de l'évaluation ce qui devrait interpeller les formateurs mais aussi les pharmaciens tuteurs employeurs. Cette formation devrait intégrer plus la réalité du terrain (conseil, homéopathie, phytothérapie, mais aussi la communication/information (concepts-représentations), éthique, santé publique... :=! ). L'apprentissage par alternance doit être efficiente et permettre à terme le développement de compétences. La formation menée dans les CFA et les activités professionnelles réalisées dans les officines doivent prendre du sens. Des liens doivent être tissés entre ces deux entités structurelles pour permettre l'élargissement des connaissances ce qui suppose la mise en place d'une véritable stratégie d'apprentissage (coordination pour la mise en lien, projets pédagogiques et suivis)... D'ailleurs, cette formation ne devrait-elle impliquer plus les préparateurs séniors ? Je veux dire par là implication dans l'organisation des modules mais aussi dans le contenu de ces modules. La pédagogie m'a laissé indifférente jusqu'ici mais ce n'est plus le cas !
Manager Managericon_post
Clap ! Clap ! Clap ! :-P
Je partage tout à fait ce point de vue et ne l'aurais pas mieux exprimé. :=!
Alors, camarades on se bouge ?
olivier91 olivier91icon_post
bonjour!

Pour répondre à mgm qui a certes une vision raisonnable de la situation....: Il y a bien d'éminents pédagogues au sein des différentes commissions qui "décident" des approches pédagogiques à mettre en oeuvre pour la formation en alternance (?) de nos jeunes, et c'est peut-être là le problème...Actuellement, le maître mot, c'est le "projet du jeune", la "pédagogie de l'alternance".
Là, 1er problème: l'officine, dans sa grande majorité ne prend pas sa part dans la formation initiale. Qui , sur le terrain prend le temps d'expliquer, en relation avec le cours de pharmaco du CFA le cas de "mme Michu"?
L'officine propose-t-elle au jeune un projet professionnel ?(c'est pourtant une mission qui lui est dévolue via la convention collective)
Alors, l'alternance est bancale...
Et puis, le rôle des CFA est-il - en 2 ans seulement - de former des professionnels aguerris? je ne crois pas cela possible, par contre il faut bien que ces mêmes CFA permettent aux jeunes de passer l'étape fondamentale sans laquelle ils ne seront jamais des "professionnels" : leur diplôme.
Contenus "rendus" après gavage, certainement, contenus parfois inutiles: on est les 1ers à le déplorer , mais pourtant je pense qu'un jeune qui:

- a des pré-requis suffisants (...souvent mal ou pas évalués)
- intégré correctement dans l'équipe de l'officine ( qui n'est pas seulement là pour 2 ans afin de toucher les primes...)
- s'intéresse vraiment à son métier et à sa formation ( ...et pas là pour participer au casting de bachelor)

......trouvera son compte dans la formation , deviendra un vrai professionnel ....si la formation continue , la rigueur et l'esprit du reste de l'équipe, son salaire, ....sont à la hauteur de son implication.

......mais, .......passes ton BP d'abord!
blinkette blinketteicon_post
pour défendre mgm!
si je ne m'abuse pour passer le titre de préparateur hospitalier et d'autant plus le niveau cadre il faut déjà avoir le BP préparateur en officine donc désolée Olivier91 mais son BP mgm l'a et parle en connaissance de cause !
Manager Managericon_post
Dans ce que dit Olivier91, il y a du vrai, l'implication des officinaux dans la formation des apprentis est, pour le moins inégale, d'inexistante à convenable. L'apprenti est souvent considéré comme de la main d’œuvre à bon marché, quasiment pas de charges sociales, des primes pour compenser les absences et des petits jeunes bien dociles pour les trous à boucher quand les salariés sont malades ou en vacances, je caricature à peine. :#
Bien sur il y a des maîtres de stages qui prennent leur rôle au sérieux, mais si vous voulez, j'ouvre prochainement un sondage sur le sujet. :-o
La faute aussi aux CFA qui fonctionnent certainement trop en circuit fermé, je parie qu'avec l'ouverture du marché de la formation professionnelle continue obligatoire, la communication va s'améliorer. :-D
olivier91 olivier91icon_post
Pardon pour la méprise! mgm a bien sûr son diplôme!

Simplement, le référentiel vaut ce qu'il vaut(...), les modalités d'examen sont contestables, mais ce n'est pas en mettant en place des pédagogies "ludiques" sur des sujets parfois importants pour l'officine, mais non évaluées à l'examen qu'on avancera.
Chaque chose en son temps, le référentiel est là, les jeunes, pour mettre un pied dans le métier, doivent obtenir ce BP selon les modalités d'évaluation en place......quant à devenir - ensuite - des bons professionnels, la route peut parfois être longue...et il ya pour cela la formation continue.
olivier91
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