Mme Adenot a bien parlé, mais ce que les gens retiendront, c’est le micro caché de la journaliste, que l’échantillon soit représentatif ou non peu importe, le mal est fait, l’ensemble de la profession passe pour une belle bande de bouffons à cause de ces brebis galeuses qui ne seront pas sanctionnées tant qu’elles n’auront pas volé de l’argent à la secu/dépanné des stups/tué quelqu’un.
La dame au fait une proposition intéressante, pourquoi pas un prix unique du médicament (comme pour le livre) ? On verrait moins d’épiciers exercer la Pharmacie.