A l'époque (pas si lointaine) où ils s'informatisaient à reculons il n'employaient pas ce genre d'argument. Content que 20 ans apres les toubibs aient compris l'interet de l'informatique meme si ils n'en ont pas encore saisi le potentiel falcificateur pour le moindre préado équipé d'un scan et d'une imprimante.

les différents syndicats de médecin font pression pour que la mention informatique soit prise en compte.... Pb : tout le monde est bien conscient (la ministre de la santé l'a rappelé dans une interview), certains labos sont champions pour s'introduire dans les logiciels.... Personne n'a remarqué que c'est (ou c'était) tout le temps le(s) même(s) princeps où il y avait "Non substituable" à coté.... Voire même pour les ordos prescrites en DCI, toujours un ou deux qui se retrouvent en Nom commercial + "non substituable" à coté....

pour informer le toubib cité plus haut : non substituable doit etre écrit AVANT le nom du médicament et pas apres : il ne doit pas laisser plus de 5 milllimetres de marge à gauche du nom du médicament!!! et il arrete de se poser des problemes avec les génériques!!! , et si cest un antigénériques , il applique la loi : il note non substituable à la main et il continue en écrivant le nom du produit!!! une ordonnance manuscrite entierement , cela le rajeunira!!!

Plusieurs départements (de mémoire : 44, 06 et 37 entres autres) étaient plus extrémistes : résultats, ils ont des meilleurs taux de substitution que les autres, et sont cités en exemple pour les économies réalisées...
Problème, ils ne respectaient ce qui étaient dans la convention (ils étaient plus stricts !) donc il a fallu harmoniser tout ça et donc suivre ce qui avait été signé dans la convention.
Mais rien n'est dit que ça ne change pas, si les économies réalisées ne sont pas assez importantes : durcissement du TP vs génériques (certains syndicats de médecins sont d'accord, comme ça plus embêtés avec une quelconque mention à apposer), qui me semblerait préférable à une baisse imposée et drastique des prix, comme ça semble se dessiner !!

Il me semble que dans Paris intra-muros c'est tiers-payant contre géné strict :

- médicament géné : tiers-payant autorisé,

- médicament de marque : tu payes, point barre ( quelque soit la mention notée, informatisée ou manuelle ou NS ou autres ... ) .

je travaille dans le finistère et la dame de la sécu nous a dit que même si le médecin notait "non substituable", il fallait faire une feuille payante
par contre, on ne fait pas payer toute l'ordo; seulement les mdts dont il existe un générique et que la personne refuse

c'est ce qu'il faudrait appliquer sur tt le territoire, mais loin d'être fait. Le sujet a déjà été en commission paritaire (bcp sont pour : médecins, pharmaciens... mais ça coince encore) : au moins, plus personne n'est embêté pour savoir si la mention est bien notée ou pas : générique = TP, princeps = le patient paie.