Citation : pharma-espoir
Non, relis le compte rendu du conseil des ministres. Pour qualifier la vente sur internet, c'est le terme "dispensation" qui est employé, avec obligation de faire le même boulot qu'au comptoir (interactions, posologies, contres-indications physio/patho, etc...) et responsabilité du pharmacien dispensateur en cas de problème.
Permets moi une interpréttion toute personnelle : je vois mal un haut-gradé comme MST comprendre ne serait-ce que le term donc l'utiliser n'est même pas dans ses cordes. Je pense vraiment qu'il se sont dit : comme ça, les pharmaciens ne nous feront pas ch... parce que cela leur fera plaisir et ils vont se pâmer en pensant que l'honneur est sauf.
Citation : pharma-espoir
Pour le truc sur les métiers de la santé, j'avais remarqué ça aussi, mais il manque également dentiste, MG, médecin spécialiste... Bref, je sais pas comment ils s'y sont pris pour faire leur truc...
Bonne remarque. Mais regardes d'un peu plus près le site de l'ARS-IDF (par exemple) et vois comment les pharmacies sont positionnées entre Centres de santé et transports sanitaires, apparemment en "partenaires" des professions de santé d'après leur propre terme.
Lis bien par ailleurs la réponse publique de l'ordre, y inclus le rappel du CSP qui dit simplement qu'un pharmacien "contribue à promouvoir la santé publique" avec plein d'obligations. Lecl contribue aussi à promouvoir la santé publique avec ses bion et ses gélules de plantes mais sans les obligations, lui.
Le verbe "contribuer" n'est même pas d'un niveau fort : assurer, c'est le plus fort et s'entend comme prendre une repsonsabilité; contribuer, c'est juste aider.
etc. etc. etc.
Ouvrez les yeux.