Voilà un débat intéressant, ça change des questions administratives. Je pense qu'il faut appliquer soit les cas 2, 3, ou 4 au cas par cas selon la situation. Il faut surtout commencer par beaucoup de pédagogie avec la patiente. Il faut vraiment lui faire prendre conscience du danger. Parce qu'un refus de délivrance si la patiente ne comprend pas pourquoi, ça fait plus de mal que de bien.
Mais appliquer ta solution 1, c'est une faute professionnelle pour les spécialistes des médicaments que nous sommes.