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L'histoire est un éternel recommencement#8959

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Petite piqure de rappel :


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PHARMACIE
COUP DE FIEVRE DANS LES OFFICINES
CHRISTIAN DAVID - 21/01/1993 - L'Expansion

Derrière les paillettes et les remous de l'affaire Botton, spécialiste entre autres de l'agencement de pharmacie, le monde de l'officine cache de moins en moins sa crise. Les dépôts de bilan ou les mises en redressement judiciaire se multiplient. Ainsi, au Havre, sept pharmacies sont dans cette situation, sur les quelque soixante-dix que compte l'agglomération, et, selon un professionnel local, il pourrait bien y en avoir une quinzaine au total d'ici à la fin de l'année. De quoi ébranler les idées couramment admises sur le train de vie de ces hommes en blanc, même si les conditions varient d'un établissement à l'autre. Les premières vraies difficultés sont apparues voilà deux ans, raconte un pharmacien. Avec un dépôt de bilan de temps en temps. Maintenant, on en apprend un ou deux par semaine. La raison est toujours la même : le poids d'un endettement trop lourd pour une profession dont les règles d'exercice ont changé ces dernières années. On peut faire une comparaison avec l'évolution de l'immobi- lier , dit Georges Kevers. Vice-président de l'Union nationale des pharmaciens de France, il est installé à Fécamp et a en charge au sein de son syndicat les affaires économiques. Il y a eu une période d'euphorie, avec une augmentation régulière du prix moyen du médicament plus rapide que l'inflation. Ce phénomène a entraîné une meil-leure rentabilité des officines, qui a stimulé les vocations. D'où une hausse des prix de cession des pharmacies, dont le nombre est d'ailleurs limité - hors dérogation, - par un numerus clausus; la France en compte actuellement 24 000. On a ainsi acquis des pharmacies pour 110, 120, voire 150 % de leurs volumes d'affaires (chiffre moyen : 5 millions de francs). Il est devenu banal, constatait déjà en 1991 le sénateur Bernard Seillier dans un rapport sur la pharmacie, d'acheter un fonds à 130 % de son chiffre d'affaires, en empruntant 120 % sur douze à quinze ans. Selon les données de la Banque de France, l'encours de crédit aux pharmacies atteint 31 milliards de francs.

En première ligne sur ce marché, avec 15 milliards d'engagements auprès de 4 000 officines, le Crédit lyonnais, à travers deux de ses filiales, le Crédit médical et la société Inter Fimo, qui assure le cautionnement des prêts sous une forme mutualiste.

Surendettement. Mais dès que la rentabilité baisse, l'endettement devient surendettement. Et, depuis le début de l'année 1989, les pharmaciens perdent régulièrement des points de marge, apportant leur écot aux tentatives de maîtrise des dépenses de santé. Entre les baisses autoritaires, les dispositifs de marge dégressive, la suppression de certains honoraires, le plafonnement des remises des fournisseurs, ils estiment avoir perdu au moins 5 points de marge par rapport aux 32,4 % de janvier 1989. Et les ventes de parapharmacie (en moyenne 13 % du chiffre d'affaires) subissent de plein fouet la concurrence de la grande distribution. En fait, les pharmaciens découvrent les réalités économiques. Se- lon Georges Kevers, environ 30 % des pharmacies sont surendettées , auprès des banques mais aussi des grossistes-répartiteurs, à un moment où la valeur de l'investissement réalisé baisse. Une pharmacie parisienne bien placée se négociant à 140-150 % en 1988 se vendrait autour de 100 %

aujourd'hui. Aux problèmes de ressources s'ajoute un déficit patrimonial , affirme un professionnel. D'ailleurs, le volume des transactions s'en ressent. Le turnover des officines est passé de 18,5 % dans les plus belles années à 11 % en 1990 et à environ 5 %

actuellement.

En revanche, les renégociations de dettes et les restructurations bancaires, pas toujours évidentes, sont à la hausse. Ce qui explique l'attention, fortement teintée d'inquiétude et d'impatience, des milieux pharmaceutiques face à l'évolution des taux d'intérêt.
parmentier parmentiericon_post
Effectivement la 1ere bulle des prix de vente (année 1986-1992) des officines, basée déjà sur l'augmentation de la demande (effectifs importants de pharmaciens des dernières promotions d'avant le concours en 1ere année mis en place en 1981) et la raréfaction de l'offre (coup d'arrêts aux créations dans les années 1990) a débouché sur de premières faillites et surtout une baisse importante de la valeur des fonds (de 120 à 80%). Heureusement aujourd'hui, tout sera fait pour éviter que la seconde bulle actuelle ne débouche sur une baisse de la valeur des fonds: les pharmaciens séniors ont compris la leçon et en augmentant encore la demande (pharmaciens investisseurs et augmentation du NC de formation) en diminuant l'offre (regroupements et SEL), ils devraient réussir à éviter une baisse de la valeur des fonds, en dépit de l'érosion des marges.
caiuscrocus caiuscrocusicon_post
Citation : parmentier 

Heureusement aujourd'hui, tout sera fait pour éviter que la seconde bulle actuelle ne débouche sur une baisse de la valeur des fonds: les pharmaciens séniors ont compris la leçon et en augmentant encore la demande (pharmaciens investisseurs et augmentation du NC de formation) en diminuant l'offre (regroupements et SEL), ils devraient réussir à éviter une baisse de la valeur des fonds, en dépit de l'érosion des marges. 


Ça c'est toi qui le dit, quelques extraits du dernier moniteur :

L'heure du bilan... et de son dépôt
Paru dans Le Moniteur des Pharmacies, N° 2816 du 06/02/2010

Rubrique : Témoignages
Auteur(s) : ENQUETE COORDONNÉE PAR LAURENT LEFORT

Selon des prévisions pessimistes, en 2010 un pharmacien français déposera le bilan tous les 4 jours. Ce phénomène sans précédent dans la profession est amorcé depuis fin 2009. Nous sommes allés voir ce qui se passait dans différentes régions.

Il est fini le temps béni de la pharmacie. Triste refrain. Près d'une centaine de titulaires se sont retrouvés devant un tribunal en 2009. Bien sûr, c'est peu face aux 61 500 faillites d'entreprises répertoriées en 2009. Peu, mais inédit. « Selon nos observations sur le Bulletin des annonces civiles et commerciales, il y a eu sur le dernier trimestre 23 mises en redressement judiciaire, affirme Philippe Becker, responsable du département pharmacie de Fiducial Expertise. Après calcul au prorata, cela signifie qu'en année pleine, en 2010, le chiffre pourrait avoisiner 90 dépôts de bilan, soit une nette augmentation. Les pharmacies mises en redressement judiciaire sur le 4e trimestre 2009 sont majoritairement situées dans les Antilles et dans le nord-ouest de la banlieue parisienne. »

A son grand désarroi, Philippe Besset, président de la commission Economie de la FSPF, confirme ce chiffre inquiétant de faillites, prévisible depuis deux ans que l'économie de l'officine a viré dans le rouge. D'après des données communiquées par Interfimo, le nombre de liquidations judiciaires d'officines était déjà passé de 14 en 2007 à 27 en 2008, et le nombre d'officines redressées de 27 à 44.


La trésorerie ne cesse de se dégrader

Ainsi, chez les grossistes, les seuls services constamment en expansion sont ceux du contentieux. Nombreux sont aujourd'hui les pharmaciens qui n'assurent plus leurs échéances. En cause, la dégradation de la trésorerie. Il y a d'abord eu les diverses mesures gouvernementales qui ont pesé négativement sur l'activité des officines et rogné les marges comme la gangrène : baisse des prescriptions, déremboursements de médicaments, franchise de 0,50 euro par boîte, invasion des grands conditionnements... Puis, le coup de grâce pour les officines déjà fragilisées est venu de la loi de modernisation de l'économie (LME) qui impose des délais de paiement limités à deux mois, alors que les commandes sont passées pour stocker pendant cinq ou six mois. La mesure de trop. Tout cela ajouté à la crise du pouvoir d'achat.


Les banquiers ne font plus confiance aux titulaires

L'inquiétude peut se lire sur le visage de Philippe Besset. « L'augmentation du nombre de dépôts de bilan de pharmacie en 2009 n'est pas forcément l'indicateur le plus révélateur d'une crise car ce sont des procédures collectives lourdes », explique-t-il. Comme le rappelle Olivier Delétoille, du cabinet ArythmA, « les structures qui déposent le bilan sont d'abord celles dont les fonds de commerce n'ont pas pu être vendus à temps comme solution ultime ».

Un autre précieux indicateur traduit mieux l'état du moment. Il s'agit de la note de confiance attribuée à l'officine par le système bancaire. « Elle n'est plus aussi élevée qu'auparavant, ce qui témoigne de la capacité amoindrie des titulaires à surnager dans les difficultés. » Si celles-ci perdurent, Philippe Besset craint que le poste crédit fournisseur ne se tende à son tour.

La FSPF tient les gouvernements successifs comme seuls responsables de ce sinistre. « Les difficultés des pharmacies ne sont pas liées au contexte de crise globale de l'économie, le problème est structurel et trouve sa cause dans les plans successifs sur le médicament et la contraction des dépenses de santé », accuse Philippe Besset.


La Fédération accuse les pouvoirs publics

Les résultats d'exploitation du secteur officinal n'ont pas vraiment l'air de déplaire aux pouvoirs publics. « Quand on dit à l'Etat que les officines vont mal et que certaines mettent la clé sous la porte, on sent très clairement que c'est le but recherché. Nous n'accepterons pas que la régulation du réseau se fasse par l'étouffement des plus faibles, comme le préconise la Cour des comptes », lâche Philippe Besset. Le gouvernement aurait beau jeu d'être surpris lui qui, depuis trois ans, tire sans retenue sur la ficelle. Les chiffres de l'année 2008 rapportés par la FSPF étaient déjà alarmants : plus de 10 % des officines ont déclaré un résultat négatif et 36 % un découvert bancaire. La trésorerie, quant à elle, s'est dégradée de 11 000 Euro(s) en moyenne. La détérioration des officines déjà sinistrées en 2007 n'a fait que croître et embellir en 2008 : leurs trésoreries se sont dégradées bien plus que la moyenne, de 38 000 Euro(s). Sans attendre davantage, la Fédération a relancé en toute fin d'année 2009 l'enquête sur la trésorerie des officines, dont les résultats seront livrés lors de sa prochaine assemblée générale en mars. Même si les bilans n'ont pas encore parlé, les cabinets d'expertise comptable disposent au moins de résultats provisoires de l'exercice 2009 des pharmacies.


Une croissance de 0,66 % en 2009 par rapport à 2008

Les premières estimations de Fiducial Expertise, basées sur des bilans clôturés en cours d'année 2009, font ressortir une quasi-stagnation des chiffres d'affaires (CA). « La croissance est de 0,66 % par rapport à 2008 », indique Philippe Becker. Mais cette moyenne cache une crise latente : 48 % des pharmacies étudiées ont une baisse moyenne de 3,09 %. « La marge commerciale ne devrait baisser que très légèrement et même résister dans beaucoup d'officines », poursuit-il. Globalement, et du fait de l'« effet ciseaux » (accroissement de charges et très faible augmentation des CA), l'excédent brut d'exploitation diminuera selon toute vraisemblance de un point, ce qui représente en moyenne une perte de trésorerie de 15 000 Û par officine et par an !

La taille semble préserver davantage des difficultés. « Ce sont celles de plus de 2 MÛ qui s'en sortent le mieux », relève Lionel Canesi, expert-comptable au cabinet C2C Pharma. Ce que confirme Olivier Delétoille : « Pour les CA moyens supérieurs à 2,1 MÛ hors taxes, nous constatons une très légère hausse du taux de marge de 0,1 % conjuguée à une augmentation de l'activité, ce qui conduit à une progression intéressante de la marge en valeur de 2,49 %. Néanmoins l'augmentation de la marge n'est pas suffisante pour couvrir la progression des charges d'exploitation. Il s'ensuit que les officines ont enregistré une baisse de leur rentabilité en valeur de 0,41 %. En définitive, la rentabilité en valeur revient à son niveau de 2004. En tenant compte de l'inflation, les revenus bruts baissent donc. » Gilles Bonnefond, président délégué de l'USPO renchérit : « Des problèmes de trésorerie avec des incidents de paiement de plus en plus importants auprès des fournisseurs, c'est le premier signal d'alarme. »

Outre la taille, les structures et l'organisation deviennent des critères de plus en plus déterminants pour la pérennité de l'entreprise officine. Les pharmacies regroupées au sein des nouveaux modèles d'exercice (SEL) ont plus de moyens. « Localement, les contrastes sont notables », confesse Olivier Delétoille. Et de confirmer que les pharmacies les moins vulnérables sont celles atteignant une certaine taille ou travaillant réellement de manière groupée pour offrir un meilleur service, amortir les frais fixes et/ou obtenir des conditions d'achat meilleures ; celles « surfant » sur un environnement local favorable au plan commercial (transfert, travaux, redynamisation du quartier, incompétence du prédécesseur...) ; celles ayant amélioré leur gestion. Quant aux pharmacies les plus petites, elles ont subi des baisses significatives de rentabilité en valeur.


Le dépôt de bilan apanage des nouveaux titulaires

Autre grand responsable des faillites : le niveau atteint par les prix des officines. Les experts-comptables sont formels : ce sont celles qui sont surendettées qui souffrent le plus aujourd'hui. « Les dépôts de bilan touchent principalement les primo-accédants qui ont bâti leurs prévisions sur des évolutions plus favorables de leur activité ainsi que ceux qui ont acquis à un prix trop élevé leur fonds de commerce », signale Philippe Becker. « Les pharmacies les plus en difficulté sont celles qui ont été acquises il y a 3 ans, au plus haut du marché (plus de 110 %), avec des taux d'intérêt très faibles donc difficiles à refinancer, et avec des prévisionnels intégrant une hausse élevée du chiffre d'affaires », complète Lionel Canesi. Sans lien apparent avec la taille. « On y rencontre des pharmacies de taille importante et pas forcement celles de petite taille, que l'on annonce pourtant parfois un peu vite en voie de disparition. » Preuve qu'en l'absence de crédit, elles survivent.

Olivier Delétoille partage la même analyse : « Rien de nouveau sous le soleil ! Primo : il y a le lot des pharmaciens récemment installés, et donc endettés, qui ont acheté leur outil de travail à un prix trop élevé, en dépit des potentialités réelles de rentabilité. Ce scénario classique est, dès le départ, à inscrire dans les chroniques des morts annoncées, alors même que des banquiers aient pu accompagner le financement. Une nouveauté néanmoins : ceux qui avaient fait cette erreur d'appréciation pouvaient, jusqu'à il y a encore un an ou deux, s'en tirer en revendant leur affaire avant que la situation ne devienne véritablement inextricable au plan financier. Mais, depuis, l'environnement a bien changé, le marché de la transaction est beaucoup moins porteur et spéculatif, et la sortie de crise par la revente est une situation de plus en plus laborieuse à mettre en oeuvre. Secundo : certains pharmaciens sont incapables de s'adapter à une évolution simple de leur environnement et, pour être tout à fait clair, travaillent mal et/ou pas assez et/ou prélèvent trop ! »


2010, années de toutes les incertitudes

Lionel Canesi s'attend en 2010 à une augmentation des pharmacies en procédures collectives : « La crise économique qui rend les partenaires de la pharmacie plus frileux ne devrait pas atténuer cette tendance. » Et de mettre solennellement en garde : « Les pharmacies qui étaient en difficulté en 2008 et qui n'ont pas pris en 2009 les mesures économiques pour assurer leur solvabilité sont très exposées au risque du dépôt de bilan en 2010 du fait de la dégradation des trésoreries. »

Les prévisions de Philippe Becker ne sont guère plus optimistes : « Indiscutablement, la situation sera également tendue sur les deux premiers trimestres 2010 car nous ne voyons pas à court terme de relais de croissance tant sur le chiffre d'affaires que sur les marges. La seule variable d'ajustement étant les frais de personnel, les pharmaciens doivent donc, dans une situation qui leur est objectivement défavorable, regarder leur ratio "masse salariale sur chiffre d'affaires" et réagir rapidement si nécessaire. » Et certains l'ont malheureusement déjà fait. Ou vont le faire. Une enquête de l'UNPF, publiée en juillet dernier, montrait que 40 % des officines avaient touché à leurs effectifs au cours des douze mois précédents : 17 % les avaient réduits et comptaient le refaire, 22 % l'avaient fait et allaient s'arrêter là, et 21 % n'avaient rien fait mais l'envisageaient. En juillet 2009, Catherine Morel, secrétaire générale de l'UNPF et titulaire à Arras, déclarait au Moniteur(n° 2788) qu'il fallait s'attendre à une baisse de 5 % des effectifs et de 3 % de la masse salariale en 2009. « Ce qui va primer, ce sera la réactivité car cette situation peut durer », complète Philippe Becker.






Message édité par : caiuscrocus / 11-02-2010 16:31

parmentier parmentiericon_post
Les difficultés sont réelles, mais personne n'a forcé les pharmaciens à acheter très chères des pharmacies et à se surendetter. Il est évident qu'une croissance et des marges qui augmentent tous les ans de 5 voir 10%, cela n'est pas tenable sur le long terme. le pharmacien qui a acheté 120% une boite qui en valait 90%, il faut qu'il assume ses responsabilités...
caiuscrocus caiuscrocusicon_post
On est d'accord, mais de la à dire qu'il ne va rien se passer dans les années à venir ...
Je pense que le système va exploser tôt ou tard et plus ou moins.
J'espère juste que ça ne fera pas trop de dégâts car je risque de changer à nouveau de wagon dans quelques temps.
loulou77 loulou77icon_post
et encore parmentier, 90% quelque soit la pharmacie ( ratios moyens), c'est trop cher, ça c'est mon point de vue, sachant qu il y a un delta entre le nord et le sud, et puis les côtes.
il faudrait une fourchette 65% à 80%, au delà ?
PharmaFC PharmaFCicon_post
moi ce qui me fascine ce sont les têtes brulées qui s'installent encore .....dans le contexte actuel... sans attendre que les choses se stabilisent...chapeau bas!!!
myrtillus myrtillusicon_post
ok, mais à trop attendre, on va finir par louper le train!!!! :#
PharmaFC PharmaFCicon_post
quel train.....j'ai rencontré un pharmacien qui s'est installé à 45 ans passé....il n'y a pas d'age pour faire de bonnes..comme de mauvaises affaires....c'est une question de timing....et je ne suis pas sur que c'est le bon moment...en ce moment....pour les bonnes.......................et puis notre génération comptera le plus gd nombre de centenaires jamais connus....alors autant s'installer le plus tard possible.... ;-)
syncmaster syncmastericon_post
Citation : PharmaFC 

quel train.....j'ai rencontré un pharmacien qui s'est installé à 45 ans passé....il n'y a pas d'age pour faire de bonnes..comme de mauvaises affaires....c'est une question de timing....et je ne suis pas sur que c'est le bon moment...en ce moment....pour les bonnes.......................et puis notre génération comptera le plus gd nombre de centenaires jamais connus....alors autant s'installer le plus tard possible.... ;-)  


Oui mais dis-toi que le gars qui s'installe à 45 ans, il finit de rembourser à 57 (sauf gros apport)... ça fait tard quand-même non?

Message édité par : syncmaster / 11-02-2010 23:45

PharmaFC PharmaFCicon_post
tard par rapport à quoi...tout est relatif...entre acheter une merde à 30 ans parce que les vendeurs disent qu'il ne faut pas attendre....et prendre le temps qu'il faut....meme jusqu'a 50 ans s'il le faut.....le choix me parait évident...non?.....
ElGringo ElGringoicon_post
Hum.......

Quand potentiel utilisateur de la force tu es détecté, quand Padawan tu deviens et Youngling tu n'est plus, le maître tu écoutes et tu vénères !

Ethymologiquement "Padawan" signifie "Un pas dans la forêt"

Le tout est d'en trouver la sortie ... ;-)
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