Ce qui est rare reste cher, trois fois oui, mais ...
Si le numérus clausus saute, il n'ya aura plus aucun caractère de rareté, même au soleil.
Et encore faut-il avoir des acheteurs solvables en face, et là depuis 6 mois, entre les critères bancaires mouture crise du siècle et feu les ex-titulaires en réinstallation qui ne sont plus dans une logique de cession réinstallation et qui gardent leur boutique, il n'y a plus grand monde avec de beaux apports ... :-(
Même les "investisseurs" purs et durs ont déserté, provisoirement, le secteur officinal, la plus value à court terme par ouverture du capital ne semblant plus si certaine que cela ... ;-)
Alors, sans apports conséquents de la part des acheteurs encore présents, dur dur de surcoter les beaux chiffres d'affaires, voire même tout simplement de les vendre !
El Gringo
Message édité par : ElGringo / 13-02-2009 15:53