L article est tres bien sans langue de bois !!!
La réalité quotidienne est bien racontée...
:=!
Je félicite le quotidien du pharmacien en espèrant que ca aide les consciences à se reveiller.
Parce que le discours de l'Ordre me révolte...
"Dans sa présentation des résultats sur les chiffres de la démographie pharmaceutique au 31 décembre 2010, Isabelle Adenot la présidente de l’Ordre s’inquiète sur certaines évolutions. « Notre profession n’attire plus et ne sait plus accueillir ses jeunes. Or, une profession sans jeunes est condamnée », a-t-elle déclaré"
"adjoints de nouveaux dispositifs d’exercice en association, comme les sociétés interprofessionnelles de soins ambulatoires (SISA) et les maisons de santé. « Ce qui m’exaspère, c’est qu’il existe de nouveaux modes d’exercices en société, mais on en ferme la porte aux adjoints ! », s’insurge-t-elle. Le projet de loi Fourcade, modifiant la loi Hôpital, patients, santé et territoires (HPST), prévoit l’ouverture des SISA aux pharmaciens, mais seulement aux titulaires. « Ces SISA doivent être le véhicule des financements de l’éducation thérapeutique », rappelle Isabelle Adenot. « Nous souhaitons que les adjoints puissent y entrer en tant qu’associés ».
Mais, les textes sur les holdings n’avancent pas alors qu’elle sont destinées à « aider les adjoints à entrer dans le capital des pharmacies tout en restant salariés ». « Comment voulez-vous que les jeunes s’installent ? Toutes les difficultés sont mises de leur côté ! », lance-t-elle.
« Près de 30 % des titulaires d’officine ont plus de 55 ans et beaucoup vont céder leur officine »,déclare par ailleurs Jean-Charles Tellier, président de la section A. « Il faut des moyens modernes de passation d’exercice ».
La précarité des adjoints augmente, ce qui constitue un autre motif d’inquiétude. Avec 9 % de hausse du nombre d’intérimaires. Il s’établit à 3 698 inscrits, alors qu’en parallèle, le nombre d’adjoints en officine diminue de 1,5 % pour 26 441 inscrits. Jérôme Parésys-Barbier, le président de la section D, remarque qu’il existe un vrai décalage entre l’offre et la demande, il regrette que « les diplômés d’une université refusent de bouger de la ville où ils ont étudié ». Pour lui, il importe maintenant de « travailler sur la mobilité de manière à pallier ces difficultés »."
Monsieur Paresys Barbier commence réellement à m'énerver avec sa Mobilité...il n'a que ca à dire ????depuis déja un moment...il tourne en boucle sa Mobilité....
J habite dans une commune semi rurale suis prête a faire 50 km autour de chez moi et je ne veux surtout pas aller exercer à Lille, mais ce n est pas pour autant que je trouve du travail...parce que quand vous dites au pharmacien que vous habitez a 35 km c est trop loin......on ne peut pas toujours habiter a 500 m de la pharmacie, enfin j oubliais ces raisonnements ce sont des raisonnements de vieux pharmaciens qui ne bougent jamais de leur officine...alors c est sur 35 km pour eux c est le bout du monde.....