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Posté : 19-10-2018 09:40
Citation :
James_Patagueul
l'ophtalmo a inversé les posologies (vitamines et malocide)
la veuve a invoqué qu'il n'y avait pas de posologie sur la boite, mais dans la boite il y a une notice et si elle y est c'est pas fait pour les chiens
Et quand tu vas voir 3 professionnels de santé, ce n'est pas non plus" fait pour les chiens".... Et quand tu risques de perdre la vision d'un oeil, tu prends ton traitement comme te l'a indiqué ton médecin et ton pharmacien, n'imaginant pas que tu pourras y laisser ta vie.
C'est une bien triste histoire, on doit le respect à la victime, à sa veuve et à ses 2 orphelins.
https://www.ladepeche.fr/article/2015/03/25/2073977-traitement-oculaire-morte
l-deux-medecins-pharmacien-garde-vue.html
Rappel des faits
Le 7 octobre 2014, sur les conseils de son ophtalmologiste, David C. se rend alors chez son pharmacien qui commande son traitement. Sa compagne Jeanne B., institutrice tarnaise de 33 ans, raconte la suite de ce qui est devenu un dramatique faits divers. «Le problème, c'est que la boîte de Malocide ne contenait pas de posologie indicative. David a donc suivi le traitement en confiance. Dès le premier soir, David se sent toujours mal, nauséeux et toujours fatigué. Le lendemain, jour anniversaire de ses 34 ans, son état s'aggrave et il décide alors de diminuer la dose de Malocide.»
Persuadé que sans traitement, il risque de perdre son œil dont la vision défaille, David C. écoute le conseil de son généraliste qui, durant un week-end éprouvant lui recommande de retourner voir son ophtalmologue. «Il n'y voyait presque plus rien avec son œil atteint. Le lundi, indique Jeanne B., l'ophtalmologiste dira à mon compagnon qu'il s'agit d'effets secondaires et qu'il lui faut poursuivre le traitement.»
Au retour du rendez-vous chez le spécialiste, David C. va faire part de son inquiétude à son généraliste. Il relit l'ordonnance, trouve la posologie du Malocide un peu lourde, consulte son Vidal et conclut que l'ophtalmologue doit savoir ce qu'il fait. Le soir-même, David C. est pris de convulsions. «J'étais avec lui, il a fait un arrêt cardiaque suite à des convulsions, se rappelle Jeanne B. Il a été admis dans un état critique à l'hôpital d'Albi puis transféré à celui de Castres par manque de place. Le jeune père de famille y décédera deux jours plus tard, soit le 16 octobre dernier.»
Cet article provient de Pharmechange
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