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Posté : 08-02-2008 19:16

Mon cas est assez similaire au tien (petite pharmacie, sans adjoint, et 7j/7) et il me semble que si tu as accepté de bosser ainsi, c'était effectivement dans l'optique de vivre plus "confortablement" plus tard... même si je me rend compte pour l'heure que je travaille dans des conditions bien agréables (ça peut paraître curieux, mais c'est un fait).
Je pense qu'avec ce genre de petite officine, ce n'est pas plus sur la capitalisation que sur les revenus qu'il faut miser et donc : acheter vraiment pas cher et revendre vraiment pas cher. On se rend ainsi plus vite compte de la raison pour laquelle on bosse. Au passage, ce genre de cas est loin d'être isolé, preuve qu'il y a quand même des candidats pour ce genre d'exercice. Il y en a même quelques chanceux qui ont la vie plus facile, parce qu'ils sont tombés sur la bonne opportunité au bon moment. Bon, c'est une considération générale, tu n'en es plus là.

Maintenant, tu as sans doute un apport correct qui te permet de décrocher une pharmacie plus cossue.
Tu as vraiment peur de l'ouverture du capital ou de la suppression du numerus clausus ? Vise la belle pharmacie seule au bourg... S'il y a ouverture du capital, tu seras courtisé et ton fonds ne perdra pas de sa valeur. S'il y a suppression du numerus clausus, qui viendra te titiller ?

Message édité par : Whoops / 08-02-2008 19:49

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