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Posté : 05-03-2004 17:35

Bonjour à vous tous.
En ce qui me concerne, je viens de l'industrie, je suis en cours d'écriture de thèse et j'ai trouvé un titulaire qui accepte de me prendre au coeff 400 deux mois puis 500, même sans la thèse et sans expérience, le tout proche de la Fac de Lille.

Comme je ne suis pas un officinal pure souche, je songe plus que sérieusement à passer par la case DUEC, certificats et autres douceurs à caractère universitaire , non seulement pour augmenter ma côte (orthopédie et MAD en ligne de mire), mais aussi pour assoeir la dimension conseil face aux clients. On ne peut pas vraiment se vanter d'avoir bénéficié d'une formation de qualité sur les spécialités vétérinaires ni connaître aussi bien que les petits jeunes ayant bénéficié des enseignements intégrés les dernieres spécialités utilisées dans les pathologies du moment.
La plupart des facs organise (comme à Lille), des séminaires de six soirées par an pour faire le tour d'un sujet.
Le prix d'accès est de 150 euros pour l'ensemble des séances, supports fournis.
A votre avis, lorsque l'on, prend en charge soit même ses dépenses de formation continue (inscription aux enseignements et presse spécialisée entre autre), y-a-t-il un moyen de répercuter cela sur la feuille d'impôts au titre des dépences nécessaires à l'exercice de la profession ? Quelle est la législation en matière de formation continue, tant pour le salarié que pour les emloyeurs ?
J'attends vos réponses avec impatience.

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Cet article provient de Pharmechange
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