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parmentier
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Forum » » L'avenir du métier de pharmacien adjoint » » Avenir des jeunes: que faire?
Posté : 25-01-2010 18:22 
Citation : rutuFoN
il faut revenir a des choses simples : travail/remuneration directe
Nous n'avons pas été formés pour ce qu'est le monde de l officine aujourd'hui.
Actuellement le diplome de pharmacien devrait etre delivré en bonus au meilleur eleves d'école de commerce ou de compta puisque toute facon ceux qui tiennent le levier n'ont plus rien a voir avec nos etudes.
Entre les SEL, la gestion de patrimoine, les coups tordus pour niquer les impots, la recherche du profit maximal , les luttes sur les prix ect ....
Je me demande ou est passé notre coeur de metier : le service a la personne
Un conseil ou un service serieux au juste prix mais independant du profit qu'il genere.
Passage à l'acte pharmaceutique et fin du quorum me semble etre la solution
il faut revenir a des choses simples : travail/remuneration directe
Nous n'avons pas été formés pour ce qu'est le monde de l officine aujourd'hui.
Actuellement le diplome de pharmacien devrait etre delivré en bonus au meilleur eleves d'école de commerce ou de compta puisque toute facon ceux qui tiennent le levier n'ont plus rien a voir avec nos etudes.
Entre les SEL, la gestion de patrimoine, les coups tordus pour niquer les impots, la recherche du profit maximal , les luttes sur les prix ect ....
Je me demande ou est passé notre coeur de metier : le service a la personne
Un conseil ou un service serieux au juste prix mais independant du profit qu'il genere.
Passage à l'acte pharmaceutique et fin du quorum me semble etre la solution
Effectivement, mais tout ne changera pas aussi simplement. Je dirais même que le passage à l'acte pharmaceutique est justement mis en avant par tous ceux qui soutiennent aussi les SEL et les mégapharmacies. Le conseil pharmaceutique c'est aussi une certaine spécialisation et donc de grosses pharmacies avec beaucoup de pharmaciens adjoints. En présentant le développement du conseil et de l'acte pharmaceutique, certains demandent aussi une concentration du réseau car selon eux (avec l'accord des pouvoirs publics), seules les grosses structures pourront faire face.
Donc développement de l'acte pharmaceutique, OK, mais avec identification précise du pharmacien qui assure l'acte (et non de l'équipe officinale c'est à dire de la pharmacie ou du titulaire s'il n'assure pas l'acte): c'est là le point important, qui n'est pas forcément consensuel vis à vis des préparateurs (et c'est peut être un problème...).
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