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Posté : 04-07-2014 13:44
SUR LE PACES
(1) en 2013, il y avait 21000 candidats au concours pharmacie pour 3100 places en 2ème année de pharma. La demande est NETTEMENT supérieure au nombre de places.
R : chaque étudiant en paces peut s'inscrire dans une ou plusieurs filières....je me demande si tu réfléchis a ce que tu écris pharm-espoir....
(2) Le niveau peut baisser ou augmenter selon le niveau des étudiants, mais le numérus clausus sera toujours rempli, surtout en période de crise ou 40% des -25 ans sont au chômage et où le revenu médian des français est de 1500€.
R: le niveau est tellement bon que 80 % des promotions de 2ième année de pharma passent en 2ième session...
(3) Voici un article de fin 2012 de la corpo pharma Caen sur le sujet qui prouve bien que pharm-espoir ne raconte que des sornettes.....
http://pharma-caen.fr/communique-de-presse-de-lanepf-sur-la-paces/
LES SYNDICATS
Tous les syndicats de toutes les professions sans exception se plaignent, que ce soit les médecins, dentistes bouchers, avocats, ouvriers, etc
Se plaindre c'est une chose...obtenir du résultat en est une autre.
Les syndicats de medecins refusaient le principe du CAPI. Les CAPIs ont été mis en place.....chaque medecin gagne 2 à 12 000 euros de plus par an....la Sécu a économisé 600 millions.
Pour les pharmaciens c'est un peu différent,tout les syndicats sont au main des titulaires et ils se contentent le plus souvent de trouver un compromis ou une compensation à la baisse de marge.....y a dix ans, ils ont trouvé le générique....aujourd'hui ils sont un peu en panne d'idées.....l'entretien pharmaceutique t autres babioles ne compenseront jamais 6 point de perte de marge.....pour la bonne raison que la pharmacie est un commerce qui reste soumis au principe "plus tu vends, plus tu gagnes."
On ne peut que regretter que les perspectives d'avenir ne se résument qu'a des compromis sur les baisses de marges....rien sur le réseau, quelques timides avances sur les structures juridiques....c'est loin d'etre satisfaisant. Et ça participe grandement au malaise actuel des titulaires cette absence de perspective a long terme
En regardant le monde officinal aujourd'hui on a l'impression d'un clan de blouses blanches repliés et fixés sur leurs positions....ça sent vraiment la naptaline a tout les étages....c'est sans doute ça qui fait fiur les étudiants....
Cet article provient de Pharmechange
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