Cher bibi,
Merci de penser à moi,
Tu te rappelles, que j’avais dit, que je comptais les jours, qui me separent de la fin de la période de rétractation car je ne lui faisais pas confiance ?
Eh bien j’avais raison de m’inquiéter … !
Au bout de 9 jours, il s’est adressé à moi en colère me disant :
… qu’il se rétracte …il ne me donnera rien du tout, et qu’il me licenciera pour pour faute grave à ma prochaine "connerie" et je n’aurai rien du tout (pour des raisons qui n’ont rien à voir avec la pharmacie et notre relation employeur/employé… je ne pas dire ).
J’ai reçu sa lettre 3 jours plus tard.
J’ai essayé d’entamer un dialogue avec lui, lui expliquant qu’il ne peut pas me rendre responsable de l’agissement d’un tiers … il m'a repondu, qu'il plus rien à me dire ... rien à faire.
Je me suis donc trouvé au pied du mur, obligé à démissionner. Car je ne peux pas travailler dans de telles conditions. Je lui donc présenté ma démission (en main propre avec attestation de réception sur les deux exemplaires de la démission : le mien et le sien, pour économiser le temps pris par le courrier) et demandant d’être exempté du préavis et partir le plus tôt possible (le temps que les pipiers soient faits par le comptable). Pour vous dire que j’avais hâte de partir !
J’ai contacté un conseiller prud’homal, qui a entamé une « médiation » au près de ce mon patron. Ce conseiller m'a dit qu'il va chercher à la faire revenir sur sa decision de retractation. Chose que ce conseillé pensait facile à avoir … cependant, il a été accueilli par une fin de non recevoir de la part de mon patron. Quand ce conseiller lui a parlé de moi, il s'est mis en colere ... !
Ce conseiller n'en revenait pas qu'il !
Le partron a donné comme argument que des proches à moi l'ont diffammé !
(il es à noté que ce monsieur est "un notable du village" et qu'une personne proche de moi a seulement dit que je quitte la pharmacie X, car monsieur "X", m'a insulté avec m'avoir harcelé moralement ces derniers mois ")
Voila,
Ce conseille m’a dit que dans mon cas, mon patron aura tout à fait tord devant les prud’hommes. Car c’est le cas typique du harcèlement au travail, par un employeur tout à fait sourd à toute volonté de dialogue et qui se comporte comme un tyran qui n'accepte aucune critique!
Selon ce conseiller, il est tout à fait évident (il a longue expérience des tribunaux prud’homaux), que cet employeur m’a poussé à la démission !
Quant à mes droits aux assedics, il m’a dit de ne pas m’inquiéter …
Voila la situation !
