ah oki!!!ben la il se met bien le doigt ds l'oeil car je risque pas de demissionner lol.... :-?
En tt cas pour l'inctant je fais rien vu que g 1 moi de preavis je devrai partir le 15 octobre alors de tte facon j'attend et on verra bien!
En tt cas merci beaucoup a vous tous pour vos conseils!!! :b

Dans le cas où tu serais effectivement licenciée tiens nous au courant.

oui bien sur il n'ya pas de soucis!!!Mais j'ai l'impression qu'il va repousser l'echeance petit a petit car maintenant c plus au 15 septembre mais au 30 septembre!Moi ca m'enerve car je peut pas m'avancer vis a vis des autres pharmacies!En plus cette semaine monsieur me fais faire des heures sup et ttes les fermetures car preparatrice en congée!!!Il me degoute!!! :-|

Oui ça sent le travail à l'usure. Si tu pars de toi même, c'est plus simple pour lui.

oui mais je partirait pas de moi meme ca c clair!!!!il veut me licencier ok alors j'attend je ne me ferai pas avoir et si il traine de trop allez hop arret maladie par ci par la.....A force il en aura marre!!!

Malhonnête. Par cette phrase tu viens de te discréditer totalement. A mes yeux, tu mérites de te faire virer.

Message édité par : syncmaster / 12-08-2009 09:23

drole de mentalité!!!!

j'ai un peu le meme probleme en ce moment :le système fonctionne à l'envers par moment !

Je suppose que c'est toi liloo84 qui a mis en résolu ce sujet, je le rouvre car je souhaites préciser qu'il est malsain de laisser penser qu'on peut régler les conflits par l'arrêt de travail et de laisser penser que les médecins seraient complices de ce fait.

Ensuite il n'y a pas de raison que des patrons comme corto puissent ensuite imaginer que l'arrêt de travail soit une sanction contre lui.

L'arrêt de travail c'est pour les malades... sinon demain les malades ne pourront plus se soigner.

tout a fait ,Manager,mais tu sais bien que quand un système fonctionne bien socialement ,il y a toujours quelques malin(e)s pour se glisser dans la petite faille de ce dit système :et c'est toujours les memes .... :-|

Je ne pense pas que les cas de liloo et de corto soit semblable...Il semblerait que ce soit de peu ou de prou du harcèlement de la part de l' employeur de liloo.et puis vous voyez bien que cela la met mal à l'aise.
Aprés il y a peut être une mauvaise interprétation d'une mauvaise écriture...
enfin c mon avis

c'est difficile de juger sans connaitre la situation réelle mais il faut aussi comprendre
que dans le couple employeur/employé , l'employeur a tjs de part sa position hiérarchique un ascendant
psychologique réel sur son employé qui n'a souvent comme unique recour pour sortir d'un conflit ou d'une impasse que l'arret maladie
c'est sa seule arme et il est normal pour réequilibrer les forces qu'il soit utilisé en cas de pression psychologique ou hierarchique...sinon on revient à l'epoque des seigneurs et des cerfs..et la loi du plus fort...le plus faible doit toujours etre defendu par la loi..et dans une officine le plus faible est encore, jusqu'a preuve du contraire, le salarié..

d'où l'interet de communiquer tout de suite qd cela ne va pas pour ne pas envenimer la situation (des 2 cotés d'ailleurs).

l'arret maladie ,comme le précisait manager est là pour justifier d'une maladie et l'arret est prescrit par un médecin .si tous les conflits doivent systématiser l'arret maladie , il est certain que le dialogue ne s'établira pas :après , s'il s'agit de harcèlement moral dont des faits précis sont établis et que le dialogue employeur /salarié ne peut s'établir ,l'arme nécessaire pour le salarié ,ce sont les prud'hommes .Mais ,certainement pas l'arret maladie qui dans ce cas là est purement utilisé à contre emploi !

Voilà c'est ce que je voulais dire, l'arrêt maladie est une mauvaise réponse à une éventuelle bonne question.
Il y a d'autres armes pour ça à commencer par la discussion, en finissant par la démission.

Je sais que suivant les cas ce n'est pas la solution facile, mais bon nous sommes dans une société qui s'abandonne, qui n'a plus le sens des responsabilités : des patchs pour tout et plus d'effort sur rien.

Personnellement ça me fait carrément peur nous sommes prenables par n'importe quel gourou ou dictateur pourvu qu'il nous promette tout contre rien.

L'arrêt de travail ne concerne pas que les jambes cassées... Le mal être est sans doute aussi une cause d'arrêt de travail. Et ce motif se développe. Plutôt que de chercher à culpabiliser le salarié qui n'en peut plus, peut-être faudrait-il s'interroger sur le motif du mal être du salariée et chercher à modifier le terrain pour que ce motif disparaisse... Bref, il est aussi possible d'envisager que le principal coupable dans cette histoire n'st pas le salarié mais l'employeur... Une autre vision du truc...

De toutes les manières, le plus mal placé pour parler d'arrêt de travail est sans conteste l'employeur et le mieux placé le médecin qui prescrit cet arrêt. Comme le médecin est tenu au secret, les raisons de cet arrêt peuvent paraitre contestables, alors que le médecin a, surement, des raisons objectives pour le prescrire.



P.S. : j'ai oté la mention "resolu"...

Message édité par : Bixente64 / 13-08-2009 13:42

s'agit pas de culpabiliser qui que ce soit ,ni d'accuser un quelconque autre ,mais force est de reconnaitre ,et je pense que manager a raison ,.tant qu'à savoir si le médecin est toujours le mieux placé ,ça reste aussi à démontrer :eux ,comme les titulaires de pharmacie(ces salauds de patrons!) ont leur clientèle et n'aiment pa sforcément la voir partir ,alors ,quand ça peut arranger ,un petit arret ,par ci par là ,........

ce que je voulais dire c'est que l'arret maladie est utilisé dans une situation d'urgence qd
rester est trop difficile...pression psychologique..harcelement...ça a l'avantage d'etre immediat
et on continue a pêrcevoir son salaire...les prud ça vient ds un second temps et puis vous savez quels
sont les delais pour les jugements..svt 1 an...

On est d'accord Bixente la maladie ne s'arrête pas à la jambe cassée ou à la grippe mais il y a des phrases qui m'insupporte : " si ça continue je me mets à l'arrêt..."

Ceci voudrait dire que ce n'est pas le prescripteur qui déciderait et que ce serait à la collectivité de prendre en charge les problèmes personnels relationnels. La Sécurité Sociale n'a pas été mise en place pour ça.

Tous les patrons ne sont pas des salauds et tous les salariés ne sont pas des anges. Je ne connais qu'une méthode : ne pas travailler pour ceux qui le sont.

Pour tous les gens normaux le droit est là pour équilibrer la relation de travail. C'est l'intérêt de l'employé et de l'employeur de trouver l'équilibre pour évoluer ensemble en harmonie. C'est de cette manière que chacun trouvera les moyens de son développement personnel. Comme dans la vie familiale il y a des couples qui marchent et d'autres non.

A quoi cela sert-il de rejeter la responsabilité sur l'autre?

Je ne parle pas ici bien entendu du cas particulier de liloo84 dont je ne sais pas grand chose mais de la généralité.

La phrase qui m'a fait réagir c'est "si il traine de trop allez hop arret maladie par ci par la.....A force il en aura marre" Après je sais aussi que c'est une façon de parler.