Bon je vais essayé d'être conci, car question gestion même si je viens de passer 2h sur le forum j'y connait strictement rien.
J'ai 28 ans et un bon coeff:600
mon patron me laisse entendre qu'il serait susceptible de vendre des parts d'ici 2-3 ans : soit 10% (puis 50% à terme soit dans 7-8 ans)
il est en SNC avec sa femme et la boutique fait 3.3 million € de CA (centre commercial de quartier)
j'ai bien entendu 0 apport pour l'instant (je viens d'acheter une maison)

Mes questions sont donc: :#
combien me faudra t-il en apport personnel pour acheter 10% ? (il m'a vaguement parlé d'un prix de vente à 95%)
une fois que j'ai mes 10%, est ce que je gagne plus ou moins que mon coef 600 ? (sachant que pour mon train de vie 2000€ me suffisent par mois)

Il y a énormément d'inconnues dans ton cas. Qu'est ce que cette officine dégage ? Comment seraient définis tes revenus ? Car hormis les 10% sur d'éventuelles dividendes que tu retirerais, quel salaire te serait-il octroyé ?

Concernant ta question ("combien me faudra t-il en apport personnel pour acheter 10%"), je la retournerai en disant : sur quels revenus pourrais-je compter pour me payer un emprunt compris entre 300 et 400k ? En fonction de ça, tu pourras déduire l'apport nécessaire, puis savoir si le coup est jouable et te permet de conserver un train de vie suffisant pour faire face à ton train de vie... et aux impôts.

Honnêtement, l'unique façon d'avoir une réponse est d'avoir accès aux bilans de l'officine et de te pencher dessus avec un expert-comptable.

honnetement c'est malsain, soit ton patron cede 50% soit rien du tout, parce qu il faut bien comprendre que ton rythme de travail changera, et il faut que ça soit équitable, et puis si par la suite pb, qu est ce que tu peux faire avec 10% : rien.
loulou77

Dans l'absolu, c'est sûr que ça serait préférable. Mais quand tu n'as rien, une officine de ce CA, même si ce n'est que la moitié, c'est hors de portée. Cela dit, une reprise progressive de parts est effectivement une solutions qui présente pas mal d'écueils et tout particulièrement si chaque détail n'a pas été verrouillé par écrit au moment de l'accord. Car les problèmes qui se poseront ne sont pas uniquement d'ordre financier. En plus du fait bien entendu qu'il faut être sûr d'être en mesure de pouvoir racheter les parts restantes le moment venu.
On en revient à la première indication, à savoir se plonger dans les bilans et évaluer la situation avec le plus de circonspection possible.

excuses moi whoops, j avais pas vu le ca