Bonjour.
En arrêt depuis un mois pour une double tendinite des ischio-jambiers, tendinite de compensation dûe à une névralgie pudendale (maladie rare invalidante), je me pose la question d'un mi-temps thérapeutique (4-5 matinées par semaine) pour ne pas restée cloîtrée chez moi, pour garder un lien social et pro.
Quelqu'un a-t-il déjà utilisé ce procédé. Y a-t-il des inconvénients ?
Je dois rentrer dans un protocole de soins à l'essai avec des injections de botox ou placebo durant 6 mois. Si ce protocole ne donne aucune réponse, j'en sors et le spécialiste injecte tout de même le botox. Si ça ne marche pas, alors une opération de dernier recours sera envisagée avec un taux de réussite avoisinant les 70%.
Peu de risques d'être invalide, néanmoins un certain temps dans l'incertitude. Situation difficile à gérer pour moi et mes patrons.
Question aux chefs d'entreprise : est-il préférable d'avoir un mi-temps thérapeutique ou c'est mieux un arrêt total et permettre l'embauche d'un CDD ?
Merci pour vos réponses :-)