Citation :
Bixente64
Et, en dehors de tout ce meli-melo indigeste nous revenions au sujet initial ?
Poussin
"Pour se faire des ennemis, il n'est pas nécessaire de déclencher la guerre, il suffit de dire ce que l'on pense"
Martin Luther King
Pour revenir au sujet initial : j'ai toujours du mal avec les cas comme ceux-là avec un seul point de vue, forcément il manque des éléments ...
Conseiller d'aller aux Prud’hommes sans connaître le dossier, comme conseiller de ne pas y aller, c'est risqué.
Pas loin de chez moi, une pharmacie (ex-Univers) de 2.5 Me. est en plan social. Le titulaire s'associe (sinon la banque demandait la liquidation) pour tenter de pérenniser la boutique (avec quelques emploi) --> 3 licenciements (1 adjoints + 2 employés non BP).
Je connais un peu le dossier : les employés n'ont pas intérêt à aller aux tribunal :
1. parfois l’association est demandée par les débiteurs (ou le liquidateur), dans le cas où le titulaire s'avère incapable de gérer la pharmacie et que cette dernière soit invendable à cause du passif. Le plan de sauvegarde de l'emploi (qui passe par la suppression de poste dits "de confort" et d'un adjoint) a toutes les chances d'être validé au bout de 4 à 5 ans de procédure (avec appel),
2. de toutes façons, il n'y a pas d'argent pour payer la note dans le cas où les salariés gagneraient ...
Donc quand on sait pas, on ne prend pas partie. Les cas comme ceux-là vont se multiplier sur la fin de l'année et en 2016. 30% des officines sont en train de bouffer la grenouille (source répartiteur)