primo tu ne démissionnes pas. Il fait pression sur toi et c' est bien sûr interdit
Deuxio tu vas bosser même si c' est très dur. Cela n aura qu un temps.
Tertio laisse le te licencier. Et vois CGT OU FO etc... et inspection pharmacie
Monte discrètement ton dossier et prud homme.
Voilà.
Et ne regrette pas tu trouveras mieux ailleurs.

c'est deux choses différentes, que ton titulaire ne soit pas clean de chez clean ne remet pas en cause ton erreur.
Le fait qu'il n'y est pas eu d'avenant stipulant qu'il y a une videosurveillance n'est pas pertinent, car je pense que ton titulaire a du le signaler à toute l'équipe.
Ne démissionne pas, dis lui que s'il veut te voir partir, libre à lui de te licencier.

Ce doit être fait de manière formelle. Donc ; faute.

Je ne peux que te conseiller d'écouter ce gauchiste de Bixente, toujours là pour défendre le travailleur.
Maintenant, j'aimerais savoir si cette erreur est isolée ou si tu en fais beaucoup ?
Courage.

des qu'on respêcte scrupuleusement les règles on est de gauche......

Et quand on les viole allègrement, on est de droite ;-)

Si tu veux être névrosée, ne démissionne pas.. Prends du prozaq et du bromazepan dans le stock... Bats toi, ne te laisse pas faire.. Divorce, ne t'occupes plus de tes enfants.. Ta dignité avant tout.. Tant pis pour ton sommeil.. Il restera toujours le zolpidem, et si ça ne suffit pas le zopiclone ( demi-vie plus longue...

???????? t as des soucis familiaux , Pharmaco?

Ben non, je suis avec ma petite femme et mes enfants.. On prépare des moules au curry.. Tout se passe bien, pourquoi? Si je lui conseille de ne pas insister c'est pour elle.. Je ne pense pas à mon petit syndicat, moi..

Tu veux qu' elle démissionne ? Ben voyons.
S il veut de débarrasser d' elle qu' il envoie la sauce ( au curry) en premier.
Si la faute grave est justifiée il ne risque rien, il ne paye pas les indemnités et elle peut s' inscrire à Pôle emploi.
Syndicat ou pas, si le titulaire est dans son bon droit, il peut dormir tranquille.
Bonne soirée à toi et ta famille et garde moi une part j' adore ça, les moules au curry

Bonne conclusion.. Les moules sont prêtes.. Bonne soirée..

A la reprise de la pharmacie en tant que titulaire (oh le vilain je sais, je suis désormais un affreux patron), la femme de ménage a souhaité quitter la pharmacie avec une rupture conventionnelle (faite à sa demande...).
Son manque de confiance et des "conseilleurs" l'ont amené à se rapprocher d'un conseiller syndical pour se faire accompagner à l'entretien préalable. Pas de problème, c'est son droit.
Au final il a fait capoter la rupture conventionnelle, la harcelait chez elle même le dimanche (son mari a apprécié au plus haut point), m'a accusé par écrit avec LAR et double exemplaire envoyé à l'inspection du travail (sous la dictée de ce fameux conseiller assermenté par l'Etat - ça fait peur, je ne sais pas comment ils sont assermentés !) de l'avoir forcé à signer à la pharmacie alors qu'elle était en pleurs. Tout était évidemment faux puisqu'elle est revenue d'elle même l'aprés midi, a parlé avec l'équipe et a décidé de signer alors que je n'étais même plus à ses côtés.
Finalement, sous les bons conseils de cet honnête homme qui défendait vaillamment ses intérêts, elle s'est rétractée pendant son délai de réflexion (alors que notre comptable trouvait une indemnité supérieure à ce qu'il avait calculé !).
Se rendant compte qu'elle avait fait une (grosse) erreur, après s'être rapproché d'une juriste (qui a simplement halluciné à la vue du courrier qu'elle m'avait adressé) et après une lettre où elle disait que son premier courrier était mensonger, nous avons relancé une seconde procédure ou tout s'est parfaitement déroulée.....
Entre temps elle était toujours harcelé par ce fameux personnage, qui avait réglé une rupture dans le café juste en face, et qui se prenait pour un grand avocat, et qui méprisait notre "petite" affaire.
A chaque entretien, il avait à peine le temps de rester et coupait la parole sans cesse. Il devait être débordé le pauvre homme. Il y a tellement de méchants patrons, il ne doit pas connaitre la crise.
Voila ma court expérience avec les syndicats : certains sont extrémistes et préféreront pourrir une situation -aux dépend parfois des intérêts du salarié- mais aller jusqu'aux bouts de leurs idées. Je suis vacciné !

Je donne mon avis non pas comme bon, mais comme mien.

Les cons sont de tout bord... bonne nuit!

@ Pharma91 : j'ai déjà eu à faire à une conseiller du salarié. Cette personne a été, me concernant, d'un secours précieux car, connaissant la procédure sur le bout des doigts, elle m'a évité de faire ou dire des bêtises. De plus, je garderais pour toujours la tronche de mon licencieur lorsqu'il a vu cette dame débarquer dans son bureau sans pouvoir lui en refuser l'accès. Rien que cette petite douceur dans ce moment de grande tension, ça valait le coup.

Pour le reste de ton histoire, je n'y crois pas une seconde ; les prérogatives que tu confères au conseiller su salarié sont erronées. De là à en déduire que tu brodes un peu un peu ton histoire pour la mettre à ton goût...

Mais peu importe ; nous nous éloignons de notre interlocutrice qui, elle, se fout de tout cela. Les interventions précédentes n'ont d'autre but que de délayer un peu l'histoire et de nous en faire perdre le fil.

Dans cette histoire, le mec veut virer son employée et use pour cela de moyens non conformes à la législation française. Donc, elle va quitter l'entreprise (puisque c'est décidé) sans pour autant lui faire la douceur de lui donner sa démission, et, ensuite, elle va monter un beau dossier bien ficelé avec l'aide efficiente d'un syndicat, lui coller un procès au cul, le gagner et lui piquer un max de tunes. Le pauvre taulier chouinera, grognera mais l'aura dans le fion. Et toi, tu pourras expliquer que cet âne t'a certes licencié, mais qu'il n'en avais pas le droit et que tu as fait valoir tes droits et que la Justice t'a donné raison.

Ne te laisse pas embobiner par les chantres beaux parleurs admirateurs du MEDEF qui n'ont pas encore compris que la France est un pays de droit et que, au sein de celui-ci, le Code du Travail a toute sa place, qu'il convient donc de le respecter et non de le fouler aux pieds.

Pour faire simple, elle démissionne, elle perd ses droits au chômage, dans l'autre cas, non.

Alors soit elle a fait une erreur suffisamment grave pour lancer une procédure pour faute, soit son patron lui tape sur ses petits doigts et lui demande de faire attention la prochaine fois. Mais dans tous les cas la démission n'est pas la réponse.

Et pendant qu'il y est, il se remet un peu en cause pour savoir ce qu'il peut faire pour améliorer la dispensation dans son officine plutôt que de mater les vidéos depuis son bureau.

On peut voir l'histoire dans le sens qu'on veut finalement, vu qu'on ne sait ni l'erreur, ni le conflit qui en decoulé au comptoir, difficile et presque dangereux de prendre a priori partie pour l'un ou l'autre.
Comme d'hab, les paroles de manager me semble assez judicieuse, soit il y a matiere à licencier sur la faute et ses consequences, soit non, mais demander la demission n'a aucun sens, et la prendre encore moins...
Aprés, vu qu'on a trés peu de detail sur l'erreur elle meme, ou le passif entre eux....
Mais autant faire dans les regles, accompagnés d'un gars des syndicats, de toute façon, si le dossier est indefendable, il saura le dire et le constater.
Pour l'avoir vecu sur un autre contexte et cas avec une collegue, jamais facile de voir qqn se faire licencier , derriere le volet pro (qqn qui accumule les erreurs qu'on doit rattraper derriere) il y a toujours l'humain... Et on ne souhaite jamais voir qqn se retrouver sans emplois, sans indemnité, et avec une chance de retrouver rapidement du boulot reduite...

Bonjour a tous,
Voilà l'erreur j'ai donné un crest** 10 ai leu du 5. Je précise que j'ai un lourd passif avec mon patron. Depuis mercredi, je suis sans nouvelles, il m'a juste dis qu'il me licencié pour faute grave mais n'a rien envoye depuis, est il dans son droit? Je suis perdue et cela me ronge. Si il fait courir la mise a pied, je vais rester tout ce temps sans salaire?
Merci

Choube

C est normal que cela te ronge. Mais keep cool.
Téléphone à un syndicat genre cgt fo ( ils m' ont super bien aidée avec leurs conseils) à l' inspection du travail et note les réponses.
Ne démissionne pas et ne fais rien ne dis rien et n' écris rien à ton patron.
Un fois la tempête passée tu trouveras mieux ailleurs.

Une discussion en tête à tête, juste pour remettre les choses à leur places. Qu'en pensez vous?

Un jour patron je poserai des GoPro sur la tête de tous mes employés.

:-D