En dehors de l'approche pharmacologique que je conçoit ici comme un prétexte, à toujours de-rembourser sur les maladies aiguës, la cpam s’éloigne de plus en plus de son acte fondateur, la protection des salariés, et se concentre sur les maladies chroniques. Dés lors, on peut se demander si le financement (désormais pour moitié) par les prestations sociales possède encore un sens.