Citation : PharmaFC 

dans ma région, les ventes se font trés rare, car les banques demandent désormais 50% d'apport pour se couvrir, inutile de préciser que rare sont les candidats qui peuvent amener autant, il n' y a donc pratiquement plus de cessions, et un espéce de statu-quo entre acheteurs et vendeurs, les 1er ne pouvant pas acheter au dessus de 60% et les seconds fantasmant de vendre à 100% comme au bon vieu temps (ou y etant obligé car ayant acheté bien au dessus de 100% il y a 4 ou 5 ans)
le marché se divise en 3 : les belles affaires en progression et a trésorerie positive qui se vendent encore trés bien avec beaucoup d'apport, celles que tout le monde veut/
les affaires qui végètent, n'évoluent plus et dont la tréso est menacée, et qui sont les plus nombreuses, le ventre mou.
et enfin les affaires en redressement judiciaires, criblées de dettes et qui se font racheter une bouchée de pain....
en nous cas nous sommes nombreux à nous rejouir de la situation actuelle de l'officine, car c'est dans les temps difficiles que les vrais entrepreneurs se révèlent et sortent du lot, c'est dans les temps difficiles que l'on fait les meilleurs affaires, c'est dans les temps difficiles que des fortunes changent de mains....l'avenir appartient aux plus malins...ceux qui n'auront pas paniqué et auront eu l'intelligence de ne pas se précipiter.....la vie est belle!!! 

Citation : becanne 

Et c'est bien là que c'est horrible, et que je trouve cela ultra mal saint... car PharmaFC tes propos ne font pas références du tout à l'aspect "professionnel de santé"... c'est triste qu'il faille etre un super requin astucieux plutot qu'un super pharmacien compétent pour sortir du lot....

Triste époque...

Mais un jour, cela changera, car la recherche du service aura raison des prix, j'en reste convaincu.