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Pharma91
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Forum » » Droit du travail » » Erreur vue par caméra de surveillance
Posté : 28-09-2013 21:41 
Citation : Bixente64
Vas ensuite rapidement voir un syndicat afin qu'ils te guident et t'épaulent pour passer ce cap difficile.
Courage.
Vas ensuite rapidement voir un syndicat afin qu'ils te guident et t'épaulent pour passer ce cap difficile.
Courage.
A la reprise de la pharmacie en tant que titulaire (oh le vilain je sais, je suis désormais un affreux patron), la femme de ménage a souhaité quitter la pharmacie avec une rupture conventionnelle (faite à sa demande...).
Son manque de confiance et des "conseilleurs" l'ont amené à se rapprocher d'un conseiller syndical pour se faire accompagner à l'entretien préalable. Pas de problème, c'est son droit.
Au final il a fait capoter la rupture conventionnelle, la harcelait chez elle même le dimanche (son mari a apprécié au plus haut point), m'a accusé par écrit avec LAR et double exemplaire envoyé à l'inspection du travail (sous la dictée de ce fameux conseiller assermenté par l'Etat - ça fait peur, je ne sais pas comment ils sont assermentés !) de l'avoir forcé à signer à la pharmacie alors qu'elle était en pleurs. Tout était évidemment faux puisqu'elle est revenue d'elle même l'aprés midi, a parlé avec l'équipe et a décidé de signer alors que je n'étais même plus à ses côtés.
Finalement, sous les bons conseils de cet honnête homme qui défendait vaillamment ses intérêts, elle s'est rétractée pendant son délai de réflexion (alors que notre comptable trouvait une indemnité supérieure à ce qu'il avait calculé !).
Se rendant compte qu'elle avait fait une (grosse) erreur, après s'être rapproché d'une juriste (qui a simplement halluciné à la vue du courrier qu'elle m'avait adressé) et après une lettre où elle disait que son premier courrier était mensonger, nous avons relancé une seconde procédure ou tout s'est parfaitement déroulée.....
Entre temps elle était toujours harcelé par ce fameux personnage, qui avait réglé une rupture dans le café juste en face, et qui se prenait pour un grand avocat, et qui méprisait notre "petite" affaire.
A chaque entretien, il avait à peine le temps de rester et coupait la parole sans cesse. Il devait être débordé le pauvre homme. Il y a tellement de méchants patrons, il ne doit pas connaitre la crise.
Voila ma court expérience avec les syndicats : certains sont extrémistes et préféreront pourrir une situation -aux dépend parfois des intérêts du salarié- mais aller jusqu'aux bouts de leurs idées. Je suis vacciné !
Je donne mon avis non pas comme bon, mais comme mien.
Cet article provient de Pharmechange
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