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potarde17

Forum » » Cas de comptoirs » » depression


Posté : 20-05-2012 17:59 icone du post

Nous, on commence par demander à la personne si elle a un RV prévu et quand. En expliquant que si c'est dans + d'une semaine, le client ne pourra jamais "retomber sur ses pieds" : le problème se posera de la même façon dans 1 mois, puisqu'il lui manquera 1 semaine de traitement.
On n'avance d'une manière générale que les médocs pour les maladies chroniques (diabète, coeur, HTA, etc).
Pour les anxios, hypno, antidépresseurs : seulement qqs comprimés jusqu'à la date du RV. C'est grave aussi d'arrêter un antidépresseur, donc c'est notre démarche. (risque de rechute sérieuse, voire de TS)
Personnellement, cela me convient bien. On rend service mais intelligemment (à mon avis).
Non au "n'importe quoi" ! Une Diprosone, ce n'est pas vital, il ne va pas mourir le client, juste se gratter un peu, il n'a qu'à prendre de l'Onctose en attendant, on a des cortisones délistées après tout.
Et pour la Ventoline ? vous en pensez quoi ?

Cet article provient de Pharmechange
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