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Posté : 17-10-2008 21:12 icone du post

Pour info, je me fais le scribe de notre varoise mécontente.

"Merci ...
Apparemment, je viens de soulever un gros SOUCI !
Selon un pharmacien varois, le numéro que j'ai composé n'est plus du tout le bon, il faut dorénavant composer le 3237 ...
Donc, le pharmacien m'a dit qu'il allait signaler cet étrange fait que l'ancien soit toujours activé, dans le vide donc, puisqu'on n'a plus de réponse du tout .... et m'a demandé (ce que j'ai fait) d'envoyer une lettre recommandée immédiatement au syndicat de pharmaciens du Var.
Une question évidente se pose :
au-delà du fait que nous devons nécessairement passer par un numéro surtaxé, et j'insiste : que nous appelions le commissariat ou le SAMU, TOUS LES CENTRES D'URGENCE nous renvoient vers ce numéro surtaxé à 0.34 € la minute .... (ça c'est un autre sujet)
pourquoi l'ancienne ligne accueille encore tous ceux qui composent ce numéro, parce qu'ils l'ont noté dans leur calepin ou trouvé sur le web (pharmagarde sur google note ce numéro sur les deux premiers résultats)
qui est propriétaire de cette ligne ?
qui en récolte encore le bénéfice ?
Depuis plus d'un an il apparait comme une énigme qui mérite que nous allions plus loin pour comprendre ...
Lorsque je tape "à qui appartient ce numéro' sur les pages jaunes, j'ai un résultat unique, qui m'indique une pharmacie varoise ...
Je me permettrai de poster la réponse à ma question ....
Peut-être que cet ancien numéro bascule sur le nouveau et que tout simplement il y a eu un "bug" qui n'a pas fait aboutir mon appel, peut-être que ce numéro que j'ai composé tourne dans le vide et ne génère que du profit pur à celui qui le détient ...
Il appartient à ce syndicat d'apporter une réponse, qui sera peut-être tout à fait "saine et honnête", laissons donc leur droit de réponse à ma lettre ...

Je vous tiens au courant, bien sur de la suite de cette affaire, mais je vois qu'elle a fait réagir pas mal de monde .... Je n'ai pas l'habitude de poster quoi que ce soit, je ne me plains jamais, mais ce jour là, j'ai éprouvé un tel sentiment de colère que je voulais avertir les pharmaciens de cette histoire que je trouvais scandaleuse, au regard de la souffrance de mon enfant et de ma panique combattre sa douleur par la prise immédiate de médicaments... c'est plutôt un combat de "maman" contre un système que j'exècre et qui touche la santé ... le reste est secondaire ....

Caroline"

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